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Réparation de Toiture Serris (77700)

✓ Service ✓ Savoir-faire ✓ Expertise

La Réparation de votre toiture reste notre raison d’être à Serris, 77700

Vous avez remarqué que votre toiture requiert une réparation à Serris ? Vous ne savez pas comment réparer cela ? Vous prévoyez des services de couverture ? Soyez rassuré, notre équipe est  le couvreur à Serris qui vous convient !

toiture endommagée réparé Serris

Nous remettons en état tout type de toit à Serris

Avant de procéder à une réfection de toiture, notre couvreur doit débuter par déterminer la cause des dégâts, celle-ci peut être vraiment différente. Le couvreur va alors faire un contrôle visuel de votre couverture par l’intérieur en vue de déterminer les espaces où il n’y a pas des tuiles ou ardoises. Par la suite, il se rendra sur votre toit pour accomplir un contrôle plus détaillé de ce recouvrement. À l’issue de ce diagnostic, il vous indiquera quels sont les travaux de réfection de toiture à Serris qu’il peut mener pour garantir son imperméabilité. Et ensuite, il vous remettra un devis de réparation de couverture à Serris. En conséquence après votre consentement, nous pourrons débuter la mission.

La réparation de toiture dans la ville de Serris

La rénovation de toiture est intégrale si elle est intégralement à renouveler. Cela peut se produire si elle est trop vieille ou après des fléaux naturels. Dans cette dernière situation, vous serez contraint de consulter votre société d’assurance. Notre établissement de toiture à Serris
pose un bâchage d’urgence qui va permettre de protéger votre toiture de façon temporaire jusqu’à ce qu’on puisse refaire votre toiture de manière intégrale.

Dans le cadre d’une rénovation de toit sur Serris
partielle, la réparation habituelle est le changement de tuiles que ce soit puisqu’elles se sont envolées ou parce que d’autres ont été cassées. La rechange de tuiles est soumis à une procédure précise bien connue par notre couvreur qui connaitra toutes les mesures utiles pour enlever la toiture à changer et mettre en place la tuile neuve en l’intégrant parfaitement à toute la couverture de sorte que le tout soit robuste et étanche.
Il y a au sommet de votre toit une ligne de tuiles que l’on appelle faîtage. La modernisation de toiture peut concerner ce dernier quand il est abîmé ou qu’il qu’il bouge dès qu’il y a vent. Notre artisan couvreur sur Serris a des propositions à vous prodiguer afin que cela ne revienne plus.

Rétablissement des différents éléments sur votre toiture

couvreur sur le toit avec harnais entrain de réparer toit à Serris

Par ailleurs, outre le changement de tuiles, la réparation de toiture à Serris
s’étend aux éléments mis en place sur la toiture. Alors notre entreprise de couverture peut effectuer la modernisation d’une pièce de cheminée, colmater une fuite sur celle-ci ou bien rétablir le système d’étanchéité quand elle est dégradée par une insuffisante connexion entre la fenêtre de toit ou entre des panneaux photovoltaïques et le revêtement de toiture. Il assurera toutes les missions de zinguerie indispensables.
Lorsque votre toiture s’abîme, appelez notre société de couverture de sorte que les projets soient accomplis au plus vite. Cela vous permettra d’éviter de vous procurer d’un devis de réfection de toit sur Serris avec un tarif trop important !

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À propos de Serris

Serris [sɛʁis] est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France. Serris fait partie du secteur IV de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée, appelé Val d’Europe, et de l’intercommunalité Val d’Europe Agglomération.

La commune est située à 50 kilomètres au nord de Melun, préfecture de la Seine-et-Marne, à 12 kilomètres à l’est de Torcy la sous-préfecture, à 39 kilomètres à l’est de la cathédrale Notre-Dame de Paris, point zéro des routes de France, et à 35 kilomètres de l’échangeur de la porte de Bercy.

Le complexe de tourisme et de loisirs Disneyland Paris touche la commune par le nord.

Le relief de Serris est principalement un relief de plaine. La commune est située sur le plateau de Marne-la-Vallée, à l’ouest de la région naturelle de la Brie. Son altitude varie de 123 mètres à 133 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 128 mètres d’altitude (mairie). Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].

La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l’encadré ci-contre[3]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l’Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun – Villaroche , qui se trouve à 27 km à vol d’oiseau[6], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010 à 11,6 °C pour 1991-2020[8].

Le réseau hydrographique de la commune se compose de cinq cours d’eau référencés :

La longueur totale des cours d’eau sur la commune est de 5,76 km.

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l’eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie.

La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d’une superficie de 1 017 km, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l’Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[16]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l’assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse ».

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n’est recensé sur la commune dans l’inventaire national du patrimoine naturel,,.

Serris est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,. Elle appartient à l’unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[24] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue,.

Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal. Cette aire regroupe 1 929 communes[27][28].

L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires artificialisés (50 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (18,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,6% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (29,5% ), zones urbanisées (20% ), prairies (4% ), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5% ), forêts (0,4 %).

Parallèlement, L’Institut Paris Région, agence d’urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l’occupation du sol de l’Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d’occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu’à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover,,. L’Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l’évolution de l’occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

La commune, en 2019, avait engagé l’élaboration d’un plan local d’urbanisme. Un plan local d’urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté de communes de la Bassée – Montois était en élaboration,.

Bourg de Serris

Site le plus anciennement occupé, ancien village agricole, traversé par la rue Emile-Cloud (sud de la commune).

Quartier de la Gare

Quartier situé autour du centre commercial Val d’Europe ainsi que de la gare RER Val d’Europe (nord de la commune).

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 4 858 dont 18,5 % de maisons et 78,8 % d’appartements.

Parmi ces logements, 75,4 % étaient des résidences principales, 16,3 % des résidences secondaires et 8,3 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 39,8 % contre 58,3 % de locataires, dont 12,9 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 4] et 1,9 % logés gratuitement.

La commune est desservie par la ligne A du RER d’Île-de-France, depuis l’ouverture de la gare du Val d’Europe le , localisée au nord de la commune au sein du Centre urbain du Val d’Europe. À un kilomètre au nord de la commune se situe la gare de Marne-la-Vallée – Chessy, qui est desservie par le terminus de la branche A4 de la ligne A du RER depuis le , et la LGV Interconnexion Est depuis le .

La commune est aussi desservie par de nombreuses lignes de bus, ce sont :

À l’avenir, la commune sera desservie par deux lignes de bus à haut niveau de service, circulant en site propre :

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Sarries en 1169 ; Seri en 1193[38] ; Apud Sarriis en 1239 ; Villa de Sarriis en 1250[40] ; Ceris en 1291 ; Sarriz en 1329[42] ; Serriz en 1350 ; Sarris en Brie en 1373[44] ; Serrys en 1531 ; Sarrye en 1564[46] ; Serriz en Brye en 1568 ; Sarry en Brie en 1672[45] ; Sarriz en Brye au XVII siècle[42] ; Sery en 1739 ; Saris en 1783[48] ; Sarris en 1784.

Toponyme classique de défrichement : Serris vient du latin saria, mot désignant le lieu où l’on entrepose le bois coupé. Le lieu-dit La Charbonnière entre Montévrain et Serris rappelle que le charbon de bois y fut produit.

Des fouilles archéologiques au site des Ruelles ont permis de mettre au jour des vestiges mérovingiens, avec un village, la ferme seigneuriale, le cimetière et la chapelle.

Au fil des temps, le petit village s’est développé autour de champs de blé et de betteraves sur le plateau de la Marne. On y produisait également du charbon de bois, notamment à l’ouest de la commune actuelle. Serris a gardé quelques traces de son passé agricole, avec des fermes aujourd’hui réhabilitées en logements et en équipements municipaux.

Au début du XV siècle le village est totalement abandonné, à la suite des mouvements de guerre dans la région, et très certainement aussi à la suite des effets de la Peste noire de 1348 et de ses récurrences[51].

La première mairie-école, située au coin de la rue du Pont (Rue Emile Cloud) et la rue du Puits (rue de l’École) est acquise par la commune le . Elle ne comprenait que 2 pièces assez vétustes, couvertes de paille, un cellier, une grange et un jardin. Revendue à un particulier en 1856, elle est remplacée en 1865 par un édifice neuf comprenant l’école au rez-de-chaussée et au 1 étage, la salle des réunions municipales. Ce bâtiment a été intégré en 1994 dans le bâtiment actuel[50]. Serris possède également un lavoir datant de 1877.

L’église Saint-Michel de Serris a été consacrée le 6 octobre 1963 par Romain, grand vicaire de l’évêché de Meaux. Elle remplace l’ancienne église médiévale autour de laquelle s’était développée la première agglomération.

En 1987, Serris intègre le secteur IV de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée. Tout d’abord, le complexe de loisirs de Disneyland Paris se développe à partir de 1992 au nord de Serris, sur la commune de Chessy.

Puis, au début des années 2000, le quartier urbain de Serris situé au nord de la commune commence son développement. Le centre commercial ouvre en octobre 2000, tout comme l’aquarium, et la gare RER du Val d’Europe est inaugurée en 2001. En 2016, le Syndicat d’agglomération nouvelle devient Val d’Europe Agglomération et en 2017, le centre commercial est entièrement rénové.

La commune se trouve depuis 1994 dans l’arrondissement de Torcy du département de Seine-et-Marne. Pour l’élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la cinquième circonscription de Seine-et-Marne.

Elle faisait partie de 1793 à 1993 du canton de Crécy-la-Chapelle, année où elle intègre le canton de Thorigny-sur-Marne. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle devient le bureau centralisateur du canton de Serris.

Serris fait partie du secteur IV de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée appelé Val d’Europe.

L’organisation juridictionnelle rattache les justiciables de Serris au tribunal de grande instance de Meaux, au tribunal d’instance de Lagny-sur-Marne et au tribunal administratif de Melun, tous rattachés à la cour d’appel de Paris.

Serris fait partie de Val d’Europe Agglomération avec 9 autres communes.

Elle est l’une des 5 communes historiques de l’intercommunalité avec Coupvray, Chessy, Bailly-Romainvilliers et Magny-le-Hongre.

S’en sont rajoutées en 2018 les communes de Villeneuve-le-Comte et de Villeneuve-Saint-Denis, puis en 2020 les communes d’Esbly, de Montry et de Saint-Germain-sur-Morin.

Les personnalités exerçant une fonction élective dont le mandat est en cours et en lien direct avec le territoire de Serris sont les suivantes :

Résultats des deuxièmes tours :

Résultats des deuxièmes tours :

Résultats des deux meilleurs scores :

Résultats des deux meilleurs scores :

Résultats des deuxièmes tours :

Résultats des deuxièmes tours ou du premier tour si dépassement de 50 % :

La ville a été récompensée en 2019 par trois @@@ pour sa première participation au concours du label national Territoires, Villes et Villages Internet, pour avoir, selon le maire, « mis en place les services en ligne sur serris.fr, l’accès Internet en Wifi dans les équipements communaux ou encore la mise à disposition de Chromebook (des ordinateurs connectés) dans les écoles ».

La commune compte de nombreux espaces verts, ainsi que des lacs d’agrément non accessibles aux loisirs nautiques..

On y trouve notamment :

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au ,.

En 2020, la gestion du service d’assainissement collectif de la commune de Serris est assurée par Val d’Europe Agglomération (CAVEA) pour la collecte et . Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le ,,. La station d’épuration Equalia est quant à elle gérée par le SIA de Marne-la-Vallée (SIAM) qui a délégué la gestion à une entreprise privée, VEOLIA, dont le contrat arrive à échéance le [69][72].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel. Val d’Europe Agglomération (CAVEA) assure pour le compte de la commune le service public d’assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à la SAUR, dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2027[69][74].

En 2020, l’alimentation en eau potable est assurée par Val d’Europe Agglomération (CAVEA) qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le ,.

L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[77].

En 2020, la commune comptait 9 699 habitants, en augmentation de 12,74 % par rapport à 2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Les établissements scolaires de Serris sont situés dans l’Académie de Créteil.

L’école existe à Serris depuis 1835. On compte aujourd’hui 5 écoles dans la commune (Pierre-Perret, Jean-de-La-Fontaine, Robert-Doisneau, Jules-Verne et Henri-Matisse).

En ce qui concerne l’enseignement secondaire, la ville possède un collège (collège Madeleine-Renaud) et le lycée Émilie du Châtelet (en), qui propose des sections internationales.

Pour l’enseignement supérieur, un pôle universitaire est situé dans le quartier de la gare, il comprend notamment l’Institut francilien d’ingénierie des services (IFIS), rattaché à l’Université Gustave-Eiffel, auquel s’ajoutera à horizon 2022 un Campus Tourisme.

En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 3 207 (dont 69 % imposés), représentant 8 354 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 670 euros.

En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 9 492, occupant 4 867 actifs résidants. Le taux d’activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s’élevait à 73,9 % contre un taux de chômage de 8,7 %. Les 17,4 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 9,4 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 2,6 % de retraités ou préretraités et 5,5 % pour les autres inactifs.

En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d’activité était de 900 dont 18 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 65 dans la construction, 281 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 57 dans l’Information et communication, 40 dans les activités financières et d’assurance, 35 dans les activités immobilières, 205 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 143 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 56 étaient relatifs aux autres activités de services.

En 2020, 216 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 160 individuelles.

Au , la commune disposait de 152 chambres d’hôtels dans un établissement et ne possédait aucun terrain de camping[84].

Serris est dans la petite région agricole dénommée la « Brie boisée », une partie de la Brie autour de Tournan-en-Brie. En 2010, l’orientation technico-économique[Note 7] de l’agriculture sur la commune est la culture de céréales et d’oléoprotéagineux (COP).

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d’environ 30 % du nombre d’agriculteurs dans les années 2010. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 6 en 1988 à 1 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 80 ha en 1988 à 15 ha en 2010[85]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Serris, observées sur une période de 22 ans :

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