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RĂ©paration de Toiture Hauts-de-Seine (92)

✓ Service ✓ Savoir-faire ✓ Expertise

La Remise en Ă©tat de votre revĂȘtement de toiture reste notre prioritĂ© Ă  Hauts-de-Seine, 92

Vous vous ĂȘtes rendu compte que votre couverture a besoin d’une rĂ©paration Ă  Hauts-de-Seine ? Vous ignorez comment rĂ©soudre ce problĂšme ? Vous prĂ©voyez des travaux de couverture ? Pas de panique, notre entreprise est  le couvreur Ă  Hauts-de-Seine qui vous convient !

toiture endommagée réparé Hauts-de-Seine

Nous remettons en Ă©tat tout type de toiture Ă  Hauts-de-Seine

Avant de commencer une rĂ©paration de toiture, notre spĂ©cialiste couvreur doit dĂ©buter par dĂ©tecter l’origine des dĂ©gĂąts, celle-ci peut ĂȘtre vraiment variĂ©e. L’expert en couverture va donc mener un contrĂŽle visuel de votre toit par l’intĂ©rieur afin de dĂ©terminer les espaces oĂč il n’y a pas des tuiles ou ardoises. Ensuite, il grimpera sur votre toit pour faire un examen approfondi de ce recouvrement. A partir de ce diagnostic, il vous prĂ©cisera quels sont les travaux d’entretien de toit Ă  Hauts-de-Seine qu’il peut effectuer pour assurer son systĂšme d’étanchĂ©itĂ©. Puis, il vous fournira un devis d’entretien de revĂȘtement de toiture Ă  Hauts-de-Seine. Alors aprĂšs votre consentement, nous pourrons dĂ©marrer les interventions.

La réparation de toiture à Hauts-de-Seine

La rĂ©paration de toiture se fait d’une maniĂšre intĂ©grale lorsqu’elle est entiĂšrement Ă  renouveler. Cela peut ĂȘtre le cas si elle est vĂ©ritablement vieille ou suite Ă  des catastrophes naturelles. Dans cette circonstance, vous devrez faire intervenir votre sociĂ©tĂ© d’assurance. Notre sociĂ©tĂ© de couverture Ă  Hauts-de-Seine
installe un bĂąchage d’urgence qui sert Ă  protĂ©ger votre toit de façon temporaire jusqu’à ce qu’on puisse remettre votre toiture de maniĂšre intĂ©grale.

Dans le cadre d’une remise en Ă©tat de toiture Ă  Hauts-de-Seine
partielle, la remise en Ă©tat la plus frĂ©quente est le remplacement de tuiles que ce soit puisqu’elles se sont envolĂ©es ou parce que d’autres ont Ă©tĂ© brisĂ©es. Le remplacement de tuiles suit une rĂšgle dĂ©terminĂ©e parfaitement maitrisĂ©e par notre couvreur qui prendra toutes les prĂ©cautions adĂ©quates pour ĂŽter la toiture Ă  changer et poser la nouvelle tuile en la fixant parfaitement Ă  toute la couverture de sorte que le tout soit solide et Ă©tanche.
Vous retrouverez Ă  la pointe de votre toiture une ligne de tuiles dĂ©nommĂ©e faĂźtage. La remise Ă  neuf de toiture peut toucher celui-ci lorsqu’il est abĂźmĂ© ou qu’il se soulĂšve dĂšs qu’il y a vent. Notre spĂ©cialiste couvreur sur Hauts-de-Seine a des suggestions Ă  vous proposer afin que cela ne se manifeste plus.

Réfection des différentes parties sur votre toiture

couvreur sur le toit avec harnais entrain de réparer toit à Hauts-de-Seine

Par ailleurs, outre le remplacement de tuiles, la réparation de toiture à
pourra Ă©galement toucher les Ă©lĂ©ments mis en place sur la toiture. C’est dans ce cadre que notre agence de revĂȘtement de toiture peut effectuer la remise Ă  neuf d’une piĂšce de cheminĂ©e, colmater une fuite sur celle-ci ou bien remettre le systĂšme d’étanchĂ©itĂ© quand celle-ci est endommagĂ©e par une imparfaite jonction entre les ouvertures de toit ou entre des plaques photovoltaĂŻques et le revĂȘtement de toiture. Il assurera tous les services de zinguerie indispensables.
Lorsque votre toiture se dĂ©tĂ©riore, consultez notre entreprise de revĂȘtement de toiture de maniĂšre que les services soient terminĂ©s rapidement. Cela vous permettra d’éviter d’avoir une facture de remise en Ă©tat de toiture dans la ville de Hauts-de-Seine avec un montant vĂ©ritablement supĂ©rieur !

Nos Services Ă  Hauts-de-Seine

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À propos de Hauts-de-Seine

Les Hauts-de-Seine (/o d(ə) sɛn/) sont un dĂ©partement français constituant essentiellement depuis 1968 la proche banlieue ouest de la mĂ©tropole du Grand Paris, en rĂ©gion Île-de-France. L’Insee et la Poste lui attribuent le code 92. Ses habitants, au nombre de 1 626 213 lors du recensement de 2020, sont appelĂ©s les AltosĂ©quanais[2]. Les Hauts-de-Seine, d’une superficie de 176 km, sont le deuxiĂšme dĂ©partement français au regard de la densitĂ© de population, avec environ 9 239,8 habitants par kilomĂštre carrĂ©. La prĂ©fecture est Nanterre.

Le dĂ©partement des Hauts-de-Seine fait partie de la rĂ©gion Île-de-France. Il est limitrophe des dĂ©partements de la Seine-Saint-Denis au nord-est, du Val-d’Oise au nord, des Yvelines Ă  l’ouest, de l’Essonne au sud, du Val-de-Marne au sud-est et de Paris Ă  l’est.

Avec les départements de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne, les Hauts-de-Seine forment une ceinture autour de Paris, appelée la petite couronne.

Du fait de sa forme « englobante » et de sa position « centrale », c’est le dĂ©partement de la rĂ©gion parisienne qui touche le plus de dĂ©partements franciliens, six exactement (tous sauf la Seine-et-Marne).

Les Hauts-de-Seine sont le plus petit département de la couronne parisienne (et donc le plus petit département français, si on excepte Paris).

Avec une forme allongée et une taille réduite, les Hauts-de-Seine contiennent uniquement neuf villes qui ne soient pas en bordure du département.

En dehors des parcs et bois, les Hauts-de-Seine sont entiÚrement urbanisés, ce qui en fait un département-ville.

La Seine borde 17 des 36 communes des Hauts-de-Seine.

Trente-six ponts, dont vingt-quatre ponts routiers et quatre ponts ferroviaires, y enjambent la Seine. Parmi ces ponts, l’on trouve notamment le pont de Neuilly qui est le plus important pont urbain d’Europe pour le trafic routier, le pont ferroviaire d’AsniĂšres qui, avec ses dix voies, est le pont ferroviaire le plus large d’Europe, et le pont de Saint-Cloud qui est le plus ancien des ponts des Hauts-de-Seine, la premiĂšre version remonte en effet au IXe siĂšcle.

Le dĂ©partement des Hauts-de-Seine a la forme d’un croissant qui entoure tout l’ouest de Paris, allant de la plaine Saint-Denis au nord Ă  l’autoroute A6 au sud.

Sa principale caractĂ©ristique est d’ĂȘtre traversĂ©e par la Seine qui y dĂ©crit deux courbes trĂšs accentuĂ©es, provoquĂ©es par la prĂ©sence de deux massifs de collines :

Au nord, le dĂ©partement se compose de plaines alluviales, alors que le sud est formĂ© d’un plateau calcaire d’oĂč, pendant des siĂšcles, ont Ă©tĂ© extraites des pierres pour la construction. Les carriĂšres de ChĂątillon, Bagneux, Clamart ont donnĂ© naissance Ă  la plupart des monuments de Paris, et il reste aujourd’hui encore de nombreux souterrains. Le plateau calcaire est entaillĂ©, Ă  l’est, par la vallĂ©e de la BiĂšvre qui dĂ©limite par endroits le dĂ©partement.

Le dĂ©partement des Hauts-de-Seine est limitrophe des dĂ©partements de la Seine-Saint-Denis au nord-est, du Val-d’Oise au nord, des Yvelines Ă  l’ouest, de l’Essonne au sud, du Val-de-Marne au sud-est et de Paris Ă  l’est.

Le climat des Hauts-de-Seine est trĂšs proche de celui du reste du Bassin Parisien avec un hiver doux, des pluies relativement frĂ©quentes en automne, un printemps doux et des tempĂ©ratures pas trĂšs Ă©levĂ©es en Ă©tĂ© (24 °C). Il y rĂšgne un micro-climat de quelques degrĂ©s plus Ă©levĂ© que le reste de la partie nord de la France Ă  cause de l’effet d’Ăźlot de chaleur urbain observĂ© sur l’ensemble de l’agglomĂ©ration parisienne.

Les communes Ă  plus de 15 000 hab./km reprĂ©sentent moins de 17 % du territoire altosĂ©quanais, mais plus de 35 % de la population altosĂ©quanaise. De cette densitĂ©, couplĂ©e Ă  une activitĂ© Ă©conomique Ă©levĂ©e, rĂ©sulte un encombrement des transports en commun et du rĂ©seau routier frĂ©quent, d’oĂč un nĂ©cessaire dĂ©veloppement du rĂ©seau RATP/SNCF, actuellement bien moins dense que dans Paris intra-muros pour une activitĂ© et une densitĂ© parfois grandement supĂ©rieures.

Avec 44 gares de transilien, 23 stations de métro, 13 stations de tramway et 19 stations de RER, les Hauts-de-Seine comptent 97 stations de transport lourd.

Cela fait 0,55 station par kilomÚtre carré, ou une station pour 15 975 habitants (population 2008).

Les extensions en cours et nouvelles lignes devraient porter le nombre de stations Ă  134 d’ici 2012 (source RATP), soit en moyenne 0,76 station par kilomĂštre carrĂ©.

Les Hauts-de-Seine (territoire actuel) sont un des lieux de naissance du transport en commun, avec la premiĂšre ligne de transport en commun en train qui les traversait dĂšs 1837, sous le rĂšgne du Roi Louis-Philippe I (monarchie de juillet) : la ligne Paris – Saint-Germain-en-Laye, inaugurĂ©e par la reine Marie-AmĂ©lie le , s’arrĂȘtant dans les gares des villes actuelles de Clichy et Levallois-Perret, AsniĂšres-sur-Seine, La Garenne-Colombes, Nanterre et Rueil-Malmaison.

À la suite de l’annulation d’une dĂ©cision du Tribunal des rĂ©fĂ©rĂ©s par le Conseil d’État le 11 juillet 2008, le systĂšme de vĂ©los en libre-service VĂ©lib’ a pu ĂȘtre Ă©tendu aux douze communes des Hauts-de-Seine qui bordent Paris intramuros et le Bois de Boulogne.

L’hĂ©liport de Paris – Issy-les-Moulineaux (OACI : LFPI) est un hĂ©liport situĂ© Ă  Paris, au-delĂ  de la porte de SĂšvres et du boulevard pĂ©riphĂ©rique sud, dans une zone constituant une extension du 15 arrondissement limitrophe de la commune d’Issy-les-Moulineaux dans les Hauts-de-Seine. Ce lieu est cĂ©lĂšbre pour avoir contribuĂ© Ă  l’histoire de l’aĂ©ronautique au dĂ©but du XXe siĂšcle. Il est exploitĂ© par AĂ©roports de Paris.

Le trafic fluvial sur la Seine est important aux abords du port de Gennevilliers, premier port d’Île-de-France, premier port fluvial français (devant ceux de Strasbourg sur le Rhin et Lyon sur le RhĂŽne), et second port fluvial europĂ©en (aprĂšs Duisbourg en Allemagne).

Le port de Gennevilliers est géré par Ports de Paris et est desservi par un embranchement ferroviaire et un oléoduc. Ports de Paris gÚre également le port de Nanterre situé dans la ZAC des Guilleraies.

Pour le rĂ©seau routier national, le dĂ©partement est bordĂ© Ă  l’Est par le boulevard pĂ©riphĂ©rique de Paris et au nord, Ă  l’ouest et au sud par l’A86 (super-pĂ©riphĂ©rique parisien). Il est irriguĂ© par la N118 au dĂ©part de SĂšvres qui descend vers l’Essonne avec un Ă©changeur avec l’A86 au niveau du Petit Clamart, l’A13 depuis Paris prĂšs de Boulogne-Billancourt, reliĂ©e au pĂ©riphĂ©rique de Paris au niveau de la porte de Saint-Cloud, l’A14 Ă  partir de La DĂ©fense (au niveau de Courbevoie et Puteaux) qui se dirige vers le nord-ouest en passant par Nanterre en tunnel, la RN13 qui traverse Neuilly-sur-Seine entre Paris (porte Maillot) et Courbevoie/Puteaux et se termine en boulevard circulaire de La DĂ©fense et la N315 Ă  Gennevilliers.

L’Axe historique est Ă©galement un axe routier de premier plan, joignant le MusĂ©e du Louvre, la place de la Concorde, les Champs-ÉlysĂ©es, la place de l’Étoile et la porte Maillot dans le dĂ©partement de Paris, et Neuilly-sur-Seine puis la DĂ©fense dans les Hauts-de-Seine. Dans Paris, en amont, cet axe routier commence par joindre la place de la Nation Ă  la place de la Bastille, au Marais et Ă  l’hĂŽtel de ville de Paris. Cet axe de premier plan est l’objet d’Ă©tudes importantes pour un enfouissement partiel de la RN13 (avenue Charles de Gaulle) Ă  Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine).

Une grande partie du rĂ©seau routier national a Ă©tĂ© dĂ©classĂ© en rĂ©seau routier dĂ©partemental entre 1980 et 2006. Les routes dĂ©partementales principales sont : la RD7 (voie rive gauche de Seine), la RD1 (voie rive droite de Seine) coupĂ©e en deux parties par la traversĂ©e du Bois de Boulogne, la RD986 entre Villeneuve-la-Garenne et Nanterre, la RD913 entre Puteaux et Rueil-Malmaison, la RD906 entre Montrouge et Clamart, la RD907 entre Boulogne-Billancourt et Vaucresson, la RD985 entre Suresnes et Ville d’Avray, la RD131 entre Nanterre et La Garenne-Colombes.

Le département des Hauts-de-Seine est le premier département de France en kilomÚtres de tunnels routiers de plus de 300 m (22,5 km).

Le RER A et la ligne L de Saint-Lazare se partagent les voies de la plus ancienne ligne d’Île-de-France entre Saint-Lazare et Le Pecq (premier terminus) puis Saint-Germain-en-Laye. En effet, le nord du dĂ©partement a connu les dĂ©buts du dĂ©veloppement du transport ferroviaire dĂšs la premiĂšre moitiĂ© du XIX siĂšcle (1837), et contient des voies ferrĂ©es nombreuses. Le pont ferroviaire d’AsniĂšres comporte dix voies. Les gares de cette ligne, mĂȘme si elles ont changĂ© d’apparence ou de nom, sont toujours prĂ©sentes : AsniĂšres-sur-Seine, La Garenne-Colombes, Nanterre-Ville et Rueil-Malmaison.

Le département est traversé par les lignes de RER A, RER B et RER C, transilien J, L, N, U, parcouru par les lignes de métro 1, 3, 4, 9, 10, 12, 13, et les lignes de tramway 1, 2 et 6.

Les projets de la région devraient faire également arriver la ligne E du RER.

Dans le futur, le département sera desservi par :

Le dĂ©partement est traversĂ© par une piste cyclable continue de 14 kilomĂštres, la CoulĂ©e verte du sud parisien. Cette coulĂ©e verte s’Ă©tend de la gare Montparnasse Ă  Paris, Ă  Massy en Essonne, tout en traversant sept communes des Hauts-de-Seine, Malakoff, ChĂątillon, Bagneux, Fontenay-aux-Roses, Sceaux, ChĂątenay-Malabry et Antony.

Cet axe privilĂ©giĂ© pour la pratique du cyclisme peut ĂȘtre parcouru en VĂ©lib’ disponible dans douze communes du dĂ©partement, uniquement celles qui bordent le territoire de la Mairie de Paris : Clichy, Levallois-Perret, Neuilly-sur-Seine, Puteaux, Suresnes, Saint-Cloud, SĂšvres, Boulogne-Billancourt, Issy-les-Moulineaux, Vanves, Malakoff (oĂč passe la CoulĂ©e verte du sud parisien) et Montrouge. Un tiers des communes du dĂ©partement sont donc Ă©quipĂ©es en VĂ©lib’, mais les liaisons intra-dĂ©partementales en VĂ©lib’ ne sont pas facilitĂ©es pour autant, ces communes formant une longue bande qui suit le boulevard pĂ©riphĂ©rique du nord au sud de Paris Ă  l’ouest. Le systĂšme de location de vĂ©los de la Mairie de Paris est plutĂŽt conçu pour des trajets trans-pĂ©riphĂ©riques.

L’esplanade et le parvis de La DĂ©fense ne sont plus interdits aux vĂ©los depuis 2015. les joints des dalles du parvis reprĂ©sentaient un danger pour les roues des vĂ©los qui peuvent s’y encastrer. Aucune station VĂ©lib’ ne se situe dans le quartier d’affaires. La station la plus proche se situe Ă  Puteaux, rue Alexandre Soljenitsyne, et comporte soixante points d’attache.

Le dĂ©partement des Hauts-de-Seine est en majoritĂ© issu du dĂ©partement de la Seine (75), originellement « Paris ». Une portion importante du dĂ©partement correspond Ă  ce qui Ă©tait les hauts du dĂ©partement de la Seine, dominant l’ancien dĂ©partement. Le nom du dĂ©partement numĂ©ro 92 rĂ©pond Ă  une logique Ă©lĂ©mentaire : les hauts de Seine ont donnĂ© le dĂ©partement des Hauts-de-Seine.

La dĂ©couverte d’un large espace d’urbanisation proto-urbain (15 hectares) sur le territoire de l’actuelle Nanterre laisse supposer que LutĂšce se trouvait sur la boucle nord des Hauts-de-Seine et non sur l’Île de la CitĂ©.

En effet, en 2003, a Ă©tĂ© dĂ©couvert une importante nĂ©cropole gauloise datant de la fin du VI siĂšcle – dĂ©but du IIIe siĂšcle avant notre Ăšre.

On trouve dans la ville de Malakoff, un polissoir datant du nĂ©olithique, situĂ© boulevard CamĂ©linat, devant le mur de clĂŽture de l’ancien pensionnat Notre-Dame. C’est le plus ancien vestige de la ville.

Le territoire des Hauts-de-Seine est issu des dĂ©partements de la Seine et de Seine-et-Oise qui furent deux des 83 dĂ©partements crĂ©Ă©s Ă  la RĂ©volution française, le 4 mars 1790 en application de la loi du 22 dĂ©cembre 1789, Ă  partir d’une partie de la province d’Île-de-France.

Le dĂ©partement des Hauts-de-Seine a Ă©tĂ© crĂ©Ă© le , en application de la loi du , conformĂ©ment au dĂ©cret d’application du [5], Ă  partir de la partie ouest de l’ancien dĂ©partement de la Seine (27 communes) et d’une petite portion de celui de Seine-et-Oise (9 communes : Chaville, Garches, Marnes-la-Coquette, Meudon, Rueil-Malmaison, Saint-Cloud, SĂšvres, Vaucresson et Ville-d’Avray).

La PrĂ©fecture des Hauts-de-Seine se situe Ă  Nanterre dans une tour de 113 mĂštres de hauteur de l’architecte AndrĂ© Wogenscky, disciple de Le Corbusier.

Les premiers villages toujours existants du dĂ©partement sont contemporains des dĂ©buts de Paris. Selon des dĂ©couvertes rĂ©centes Ă  Nanterre, LutĂšce se serait trouvĂ©e dans le Nord du dĂ©partement des Hauts-de-Seine et non sur l’Ăźle de la CitĂ© Ă  Paris.

L’urbanisation du dĂ©partement a fait un bond en avant dans la premiĂšre moitiĂ© du XIX siĂšcle avec le dĂ©veloppement du rĂ©seau ferrĂ© de transport en commun dĂšs 1837.

Certains lieux jusque-lĂ  faiblement bĂątis ont profitĂ© de l’arrivĂ©e d’une gare les reliant rapidement Ă  Paris pour se dĂ©velopper. L’avĂšnement du rĂ©seau ferrĂ© a jouĂ© un rĂŽle prĂ©pondĂ©rant dans l’urbanisation locale et parfois dans l’histoire des communes. Les voies ont localement matĂ©rialisĂ© des frontiĂšres entre quartiers d’une mĂȘme ville, qui ont fini par se dĂ©tacher. En 1910, 73 ans aprĂšs la sĂ©paration physique du quartier de La Garenne de Colombes, La Garenne-Colombes a obtenu son indĂ©pendance, dĂ©montrant la dynamique qu’avait apportĂ© le rĂ©seau ferrĂ© au territoire desservi.

Le dĂ©veloppement du dĂ©partement a dans un premier temps suivi celui de Paris, qui avec l’arrivĂ©e de nombreux provinciaux (exode rural) ou Ă©trangers (europĂ©ens ou ex-colonies) n’avait pas la place suffisante pour les accueillir.

À la fin du XX siĂšcle et au dĂ©but du XXIe, le dĂ©veloppement des Hauts-de-Seine ne dĂ©pend plus de celui de Paris, mais de l’agglomĂ©ration parisienne dans son ensemble. Paris ne reprĂ©sente plus que 20 % de la population de l’agglomĂ©ration et n’en concentre plus la majoritĂ© des emplois. Les Hauts-de-Seine font largement partie du cƓur d’agglomĂ©ration qui, lui, en comprend la majoritĂ© de la population et des emplois.

Les Hauts-de-Seine conservent un potentiel de dĂ©veloppement dĂ©mographique important avec une densitĂ© de population en 2006 de 8700 habitants au kilomĂštre carrĂ©, contre 20 800 pour Paris, mais son potentiel de dĂ©veloppement Ă©conomique est moins Ă©vident. Deux courants d’idĂ©e s’opposent, entre une volontĂ© de rĂ©Ă©quilibrage des emplois en Île-de-France qui voudrait que l’emploi se dĂ©veloppe davantage dans l’est de l’agglomĂ©ration, et une volontĂ© de renforcer le rĂŽle de La DĂ©fense comme centre d’affaires de premier plan et potentielle place financiĂšre.

En 2020, le département comptait 1 626 213 habitants, en augmentation de 1,78 % par rapport à 2014 (France hors Mayotte : +1,9 %).

Selon les chiffres de l’INSEE, l’Ă©volution de la population entre le recensement de 1999 et celui de 2007 n’est pas uniforme sur le dĂ©partement, mais connaĂźt une tendance haussiĂšre sur la totalitĂ© des communes, Ă  l’exception de Ville-d’Avray (- 0,5 % par an) et de Gennevilliers (- 0,1 %), alors que la population de Garches et de Sceaux est Ă  peu prĂšs stable. À l’autre bout de la fourchette, six communes connaissent des taux de croissance proches de 2 % ou supĂ©rieurs : Montrouge (+ 2,7 %), Courbevoie (+ 2,5 %), Issy-les-Moulineaux (+ 2,1 %), Clichy (+ 2,0 %), Levallois-Perret (+ 1,8 %) et Bois-Colombes (+ 1,8 %). Ces derniĂšres communes ont la particularitĂ© d’ĂȘtre Ă  proximitĂ© immĂ©diate soit de Paris intramuros, soit de La DĂ©fense.

Sans compter les 1 500 hectares de bois (ForĂȘt de Fausses-Reposes, ForĂȘt de Meudon, Parc de Sceaux, etc.) que contient le dĂ©partement, la densitĂ© est de 9 239,8 hab./km en 2020. Pour comparaison, la densitĂ© Ă  Londres est de 5 667 hab./km2 en 2018, Ă  Tokyo de 6 313 hab./km en 2018 et Ă  New York de 7 101 hab./km2 en 2017.

Le dĂ©partement comprend une commune de plus de 100 000 habitants : Boulogne-Billancourt. La population des villes dĂ©pend grandement des limites gĂ©ographiques des villes, donc de leur histoire, puisque le dĂ©partement est dans sa grande majoritĂ© bĂąti. La sĂ©paration de Colombes il y a un siĂšcle en trois villes (Colombes, Bois-Colombes et La Garenne-Colombes) illustre bien cette idĂ©e ; en effet, sans cette sĂ©paration, Colombes aurait pesĂ© en 2007 (Insee) 137 153 habitants. De mĂȘme pour Clichy et Neuilly-sur-Seine qui ont cĂ©dĂ© toutes les deux des terres Ă  Paris et Levallois-Perret. La population des villes a donc un sens assez limitĂ©. Les densitĂ©s sont plus pertinentes.

Cette densitĂ© de 9 239,8 hab./km, trĂšs Ă©levĂ©e par rapport Ă  la densitĂ© moyenne de l’Île-de-France (1 021,6 hab./km2), n’est pas uniforme sur le territoire altosĂ©quanais. On distingue grossiĂšrement quatre types de communes :

Un parallĂšle serait Ă  faire entre cette rĂ©partition et le fait que SĂšvres, Chaville, Ville-d’Avray, Saint-Cloud, Meudon, Marnes-la-Coquette, Vaucresson, Garches et Rueil-Malmaison faisaient partie du dĂ©partement de Seine-et-Oise (78), tandis que le reste des communes faisait partie du dĂ©partement de la Seine (anciennement Paris) (75) avant 1968.

La présidence du conseil départemental des Hauts-de-Seine est assurée par Georges Siffredi (LR) depuis le , à la suite de la mort de Patrick Devedjian,. Ce dernier avait succédé à Nicolas Sarkozy (UMP), qui avait dû démissionner de la présidence du conseil général aprÚs son élection comme président de la République française le .

Les Hauts-de-Seine sont liés intimement à de nombreuses figures politiques françaises majeures.

Les communes du département font partie depuis le 1 janvier 2016 de la métropole du Grand Paris. Elles sont réparties en quatre établissements publics territoriaux.

Il comptait auparavant cinq communautĂ©s d’agglomĂ©ration entiĂšrement dans son territoire :

Par ailleurs, les cinq communes d’Antony, Bourg-la-Reine, ChĂątenay-Malabry, Le Plessis-Robinson et Sceaux, dans le sud du dĂ©partement, faisaient partie de la communautĂ© d’agglomĂ©ration des Hauts-de-BiĂšvre (en beige), une communautĂ© d’agglomĂ©ration interdĂ©partementale avec deux autres communes de l’Essonne (VerriĂšres-le-Buisson et Wissous). Le dĂ©partement comptait aussi une communautĂ© de communes, la communautĂ© de communes de ChĂątillon-Montrouge (en rouge), qui regroupe ChĂątillon et Montrouge.

Ainsi, vingt-sept communes des Hauts-de-Seine (sur 36) faisaient partie d’une intercommunalitĂ©.

La prĂ©fecture des Hauts-de-Seine se situe Ă  Nanterre. Le dĂ©partement se subdivise en deux sous-prĂ©fectures, l’une Ă  Antony l’autre Ă  Boulogne-Billancourt. En octobre 2011, la presse a relayĂ© des tĂ©moignages nĂ©gatifs sur les services de la sous-prĂ©fecture d’Antony,.

Le département est composé de 3 arrondissements (Nanterre, Antony et Boulogne-Billancourt), 23 cantons et 13 circonscriptions législatives.

La plus petite commune du dĂ©partement a approximativement la taille du plus petit arrondissement parisien, et la plus grande commune du dĂ©partement a approximativement la taille du plus grand arrondissement parisien. Mais les communes ne sont absolument pas organisĂ©es comme les arrondissements parisiens, puisqu’elles sont par leur essence des communes diffĂ©rentes, tandis que les arrondissements parisiens font partie de la mĂȘme commune, avec une unique mairie et des mairies d’arrondissement. Pour accroĂźtre la coopĂ©ration entre ces communes, elles se sont constituĂ©es en communautĂ©s de communes ou d’agglomĂ©ration.

Sur le nord du dĂ©partement se trouve le quartier de La DĂ©fense qui s’Ă©tale sur plusieurs communes de tendances politiques diffĂ©rentes : Courbevoie, Nanterre et Puteaux.

Voir Ă©galement les articles relatifs aux communes, anciennes communes et intercommunalitĂ©s ainsi qu’aux conseillers gĂ©nĂ©raux, dĂ©putĂ©s, maires, prĂ©fets et sĂ©nateurs.

Le dĂ©partement est de maniĂšre gĂ©nĂ©rale ancrĂ© Ă  droite et au centre-droit. Les variations peuvent cependant ĂȘtre trĂšs Ă©levĂ©es d’une commune Ă  l’autre.

Lors de l’Ă©lection prĂ©sidentielle française de 2012, Nicolas Sarkozy (UMP) est arrivĂ© en tĂȘte au premier tour Ă  l’Ă©chelle du dĂ©partement avec 35 % des voix, François Hollande (PS) ayant rĂ©alisĂ© 30,2 %, François Bayrou (MoDem) 10,7 %, Jean-Luc MĂ©lenchon (FG) 10,4 % et Marine Le Pen (FN) 8,5 %. Les Hauts-de-Seine se distinguent ainsi nettement de la moyenne nationale avec un fort vote pour la droite rĂ©publicaine couplĂ© Ă  un trĂšs faible vote Front national. Au second tour, Nicolas Sarkozy a, contrairement Ă  l’Ă©chelle nationale, devancĂ© François Hollande de justesse avec 50,5 % des voix. Cependant, on observe un Ă©cart trĂšs fort entre certaines communes, allant de 77 % des voix pour Hollande Ă  Gennevilliers Ă  84 % des voix pour Sarkozy Ă  Neuilly-sur-Seine.

Lors des Ă©lections lĂ©gislatives de 2012, sur les 13 circonscriptions lĂ©gislatives que comptent les Hauts-de-Seine, 5 sont dĂ©tenues par l’UMP, 4 par le PS, 2 par l’UDI et 1 est dĂ©tenue par le Front de gauche. Depuis les Ă©lections sĂ©natoriales de 2011, sur les 7 sĂ©nateurs que compte le dĂ©partement, 3 adhĂšrent Ă  l’UMP; le PS, l’UDI, EELV et le PCF en ont un chacun.

Lors des Ă©lections municipales de 2014, furent Ă©lus, dans les 36 communes du dĂ©partement, 22 maires UMP, 7 maires UDI, 4 maires FG, 2 maires divers droite et un seul maire PS, ce dernier ayant vu son Ă©lection invalidĂ©e l’annĂ©e suivante.

Les Ă©lections dĂ©partementales de 2015 ont vu l’Ă©lection de 28 conseillers de droite et 8 conseillers de gauche (dont la moitiĂ© Front de gauche). Patrick Devedjian (UMP) fut ainsi rĂ©Ă©lu prĂ©sident du Conseil dĂ©partemental des Hauts-de-Seine.

Globalement, le département se divise entre une majorité de communes aisées qui votent traditionnellement pour la droite classique ou le centre-droit (UMP-UDI), et une minorité de communes défavorisées dirigées par la gauche radicale (Front de Gauche). Seule constante, le Front national réalise des scores trÚs bas dans la totalité du département (environ deux fois moins que la moyenne nationale).

Les Hauts-de-Seine font partie de l’acadĂ©mie de Versailles. Le dĂ©partement gĂšre les 54 000 collĂ©giens inscrits dans les 98 collĂšges publics.

Plusieurs Ă©tablissements d’enseignement supĂ©rieur se trouvent dans le dĂ©partement, tels que l’UniversitĂ© Paris Ouest Nanterre La DĂ©fense (Nanterre, Ville-d’Avray, Saint-Cloud), principal Ă©tablissement du dĂ©partement avec 33 000 étudiants, mais aussi le PĂŽle d’enseignement supĂ©rieur LĂ©onard-de-Vinci qui regroupe l’ESILV, l’EMLV, l’IIM, un campus de SKEMA Business School et un site de l’UniversitĂ© Paris-Dauphine (La DĂ©fense), un campus de CentraleSupĂ©lec (ChĂątenay-Malabry), un campus de l’ESSEC (La DĂ©fense), trois campus de l’UniversitĂ© Paris Descartes (Boulogne-Billancourt, Malakoff, Montrouge), trois campus de l’UniversitĂ© Paris-Sud (ChĂątenay-Malabry, Sceaux, Fontenay-aux-Roses), l’EDC (La DĂ©fense), un campus de l’IÉSEG (La DĂ©fense), un campus de l’ESSCA (Boulogne-Billancourt) ou encore un campus de l’EPF (Sceaux) et un campus de l’ESEO (Saint-Cloud).

Au total, prÚs de 150 000 personnes étudient dans le département.

Six hÎpitaux de Paris (AP-HP) se trouvent dans le département, Ambroise-Paré à Boulogne-Billancourt, Antoine-BéclÚre à Clamart, Beaujon à Clichy, Louis-Mourier à Colombes, Raymond-Poincaré à Garches et Corentin-Celton à Issy-les-Moulineaux.

Le dĂ©partement comprend aussi des hĂŽpitaux publics hors AP-HP, parmi lesquels le Centre hospitalier de Courbevoie-Neuilly-Puteaux et le Centre hospitalier des quatre villes (Saint-Cloud, SĂšvres, Chaville, Ville-d’Avray).

Plusieurs hĂŽpitaux privĂ©s sont Ă©galement installĂ©s dans le dĂ©partement dont l’hĂŽpital privĂ© d’Antony et l’hĂŽpital Foch Ă  Suresnes.

Tout comme pour Paris, mais aussi pour la Seine-Saint-Denis et le Val-de-Marne, la sécurité et la police ne dépendent pas dans les Hauts-de-Seine des maires ou du préfet, mais de la préfecture de police de Paris (depuis le 14 septembre 2009) .

En 2005, le taux de criminalité pour le département est de 70,9 crimes et délits pour 1 000 habitants, pour une moyenne nationale de 83. Certaines villes avaient en 2005 un taux inférieur à 50 (49,9 à La Garenne-Colombes).

Les Hauts-de-Seine abritent des établissements aux compétences nationales :

Les Hauts-de-Seine abritent également des organisations à directives mondiales :

Le département comprend des musées, des cinémas et des théùtres souvent mis entre parenthÚses du fait du nombre et du prestige des musées, des cinémas et des théùtres de Paris accessibles aux habitants altoséquanais.

Le centre de formation d’art lyrique et l’Ă©cole de danse de l’OpĂ©ra de Paris se situent Ă  Nanterre.

Quelques lieux se dĂ©tachent tels que l’UGC CinĂ© CitĂ© La DĂ©fense (aux Quatre Temps), le MĂ©garama de Villeneuve qui comprend la deuxiĂšme plus grande salle de France aprĂšs le Grand Rex et le plus grand Ă©cran d’Europe, ou le thĂ©Ăątre des Amandiers de Nanterre.

Les Hauts-de-Seine sont partiellement traversĂ©s par l’Axe historique de Paris.

Les Hauts-de-Seine accueillent rĂ©guliĂšrement de grands festivals musicaux principalement dans le parc de Saint-Cloud et sur le parvis de La DĂ©fense, d’oĂč sont gĂ©nĂ©ralement aussi tirĂ©s des feux d’artifice.

Rock en Seine, La DĂ©fense Jazz Festival ou encore le festival Chorus comptent parmi les Ă©vĂ©nements les plus mĂ©diatisĂ©s. C’est Ă  l’occasion du festival Chorus qu’a lieu le Tremplin de la chanson des Hauts-de-Seine, qui a permis de dĂ©couvrir et de lancer notamment Lynda Lemay, BĂ©nabar ou encore AnaĂŻs.

Antony organise son Place au Jazz chaque année.

Le 14 juillet 1990, le concert gratuit de Jean Michel Jarre donné à La Défense a attiré un nombre record de visiteurs pour un concert de 2 500 000 personnes.

Le stade Paris La DĂ©fense Arena (anciennement U Arena) ouvert en octobre 2017 dispose Ă©galement d’une configuration concerts et spectacles lui permettant d’accueillir jusqu’Ă  40 000 spectateurs[18]. Cette arena dĂ©diĂ©e principalement Ă  l’Ă©quipe de rugby professionnelle du Racing Club de France, auparavant basĂ©e au stade olympique de Colombes, se trouve Ă  Nanterre, entre l’Arche de la DĂ©fense et la prĂ©fecture de Nanterre. Sa capacitĂ© maximale en configuration concert le place devant le Bercy Arena limitĂ© Ă  18 000 places, dotant le Grand Paris d’une nouvelle salle de spectacle Ă  grande capacitĂ© et complĂ©tant l’offre de Bercy (12 arrondissement) et du ZĂ©nith (19e arrondissement, 6 293 places).

Le Festival Ptit Clap crĂ©Ă© en 2010 par la ville de Levallois-Perret, permet Ă  tous les jeunes de 15 Ă  25 ans de participer Ă  un concours de rĂ©alisation d’un court-mĂ©trage. Ce concours a pour ambition de mettre en avant les talents de demain en les aidant Ă  se faire connaĂźtre et reconnaĂźtre par les professionnels du cinĂ©ma. De nombreuses personnalitĂ©s du 7 Art comme Eric Toledano, Olivier Nakache, Nicole Calfan ou encore Philippe Lellouche ont participĂ© aux jurys. Depuis 2012, Arnaud TsamĂšre est le parrain de Ptit Clap. Aujourd’hui, le Festival Ptit Clap est devenu un rendez-vous incontournable de la jeune gĂ©nĂ©ration de cinĂ©astes. En 2016, ce sont 372 films qui ont Ă©tĂ© rĂ©ceptionnĂ©s depuis une trentaine de pays.

En 2008, 641 460 tonnes de déchets ménagers et assimilés ont été collectées dans les Hauts-de-Seine, soit 412 kg/hab..

Courbevoie a accueilli les Ă©preuves d’aviron, de natation et de water-polo des Jeux olympiques d’Ă©tĂ© de 1900. Le crawl y fut nagĂ© pour la premiĂšre fois aux Jeux olympiques.

L’Hippodrome de Saint-Cloud (depuis 1901) est un hippodrome de galop.

Le Haras de Jardy (depuis 1890), Ă  Marnes-la-Coquette, est un haras de rĂ©putation internationale, devenu parc omnisports Ă  dominante hippique. Avec ses 2500 cavaliers et ses 200 chevaux, c’est le premier centre Ă©questre de France.

Le stade olympique Yves-du-Manoir Ă  Colombes a notamment accueilli les Jeux olympiques d’Ă©tĂ© de 1924, la finale de la coupe du monde de football 1938 et nombre de finales de la coupe de France de football et de championnat de France de rugby Ă  XV ainsi que des rencontres des Ă©quipes de France de football et de rugby Ă  XV.

Un nouveau stade, l’Arena 92, dotĂ© d’un toit, ouvre en octobre 2017 ; il dispose d’une configuration concerts et spectacles lui permettant d’accueillir 30 000 spectateurs, sur la ville de Nanterre prĂšs de l’Arche de La DĂ©fense. Ce stade est la nouvelle arĂšne du Racing 92, auparavant basĂ© Ă  Yves-du-Manoir.

Le club du Levallois Metropolitans, basĂ© Ă  Levallois et le club Jeunesse sportive des Fontenelles de Nanterre, basĂ© Ă  Nanterre, Ă©voluent en Pro A. Ce dernier a connu une Ă©volution fulgurante ces derniĂšres annĂ©es, passant de la Pro B au titre de champion de France en 2013, suivi d’une victoire en Coupe de France en 2014 puis d’un titre en Eurochallenge (troisiĂšme compĂ©tition europĂ©enne de basket-ball) en 2015.

Le district de football des Hauts-de-Seine gĂšre, sous l’Ă©gide de la fĂ©dĂ©ration française de football et de la ligue de Paris – Île-de-France, le football dans les Hauts-de-Seine, ainsi que dans la ville de Paris, seul dĂ©partement francilien qui ne s’est pas dotĂ© de son district propre, et dont les clubs sont Ă©parpillĂ©s au sein de trois districts : celui de la Seine-Saint-Denis, celui du Val-de-Marne et donc celui des Hauts-de-Seine.

Le club du Racing Club de France football Colombes 92 (depuis 1896) est basé à Colombes.

Le club de football amĂ©ricain des Molosses d’AsniĂšres (depuis 1992) est basĂ© Ă  AsniĂšres-sur-Seine et Ă©volue parmi l’Ă©lite française depuis 1994.

La fosse aquatique de Villeneuve-la-Garenne est l’une des sept fosses de plongĂ©e les plus profondes de France (20 mĂštres de profondeur) et au troisiĂšme rang europĂ©en et mondial. Elle comprend diffĂ©rents espaces d’Ă©volution Ă  des profondeurs de -2,3 mĂštres, -5 mĂštres, -10 mĂštres et jusqu’Ă  -20 mĂštres. La future fosse de plongĂ©e d’Antony devrait voir le jour au sud du dĂ©partement en 2017.

Le club de rugby Racing 92 (depuis 1882) est basé à Colombes et joue dans le Championnat de France de rugby à XV.

Le club AsniÚres Volley 92 (depuis 1948) est basé à AsniÚres-sur-Seine et évolue en Ligue B. Le Plessis-Robinson Volley-ball évolue également en Ligue B depuis la saison 2010-2011.

La CathĂ©drale Sainte-GeneviĂšve-et-Saint-Maurice de Nanterre est dĂ©diĂ©e Ă  sainte GeneviĂšve, nĂ©e Ă  Nanterre, patronne du diocĂšse de Nanterre et de la ville de Paris, et Ă  Saint Maurice d’Agaune, soldat romain converti au christianisme et ses compagnons martyrs.

Selon la tradition, une chapelle avait Ă©tĂ© construite autour du puits de la maison de Sainte GeneviĂšve Ă  Nanterre, dont l’eau avait guĂ©ri la mĂšre de GeneviĂšve de sa cĂ©citĂ©. Cet endroit fut longtemps un lieu de pĂšlerinage oĂč vinrent notamment Saint Louis et sa mĂšre Blanche de Castille, Louis XIII et Anne d’Autriche.

Dans les Hauts-de-Seine, quatre paroisses orthodoxes relĂšvent du vicariat Sainte-Marie-de-Paris-et-Saint-Alexis-d’Ugine, qui regroupe les paroisses de tradition russe auprĂšs de la mĂ©tropole orthodoxe grecque de France, une juridiction du patriarcat ƓcumĂ©nique de Constantinople :

La paroisse Saints-RaphaĂȘl-Nicolas-et-IrĂšne dispose d’une chapelle amĂ©nagĂ©e dans les locaux du foyer hellĂ©nique de jeunes Ă  ChĂątenay-Malabry ; elle dĂ©pend directement de la mĂ©tropole orthodoxe grecque de France.

La paroisse de la Descente-du-Saint-Esprit, Ă  Clichy, dĂ©pend de la mĂ©tropole orthodoxe roumaine d’Europe occidentale et mĂ©ridionale, qui est un diocĂšse de l’Église orthodoxe roumaine (Patriarcat de Roumanie).

La paroisse Saint-Jean-de-San-Francisco, Ă  AsniĂšres-sur-Seine, dĂ©pend de l’Ă©parchie d’Europe occidentale, une circonscription de l’Église orthodoxe serbe.

L’Église protestante unie de France possĂšde dans le dĂ©partement des paroisses de confession luthĂ©rienne, comme le temple de Suresnes, et des paroisses de confession rĂ©formĂ©e, comme le temple de Neuilly-sur-Seine, le temple de la Petite Étoile de Levallois-Perret, le temple de Robinson ou encore la chapelle de Ville-d’Avray.

Une partie des mĂ©dias français sont basĂ©s dans le dĂ©partement, notamment plusieurs chaĂźnes de tĂ©lĂ©vision et de radio, on peut citer le Groupe TF1 (TF1, TMC, TFX, TF1 SĂ©rie-Film, LCI), le Groupe Canal+(Canal+, Canal+ Sport, C8, Cstar, Golf+ et tous les autres chaĂźnes du groupe), France 3 Paris-Île de France, France 5, France Ô, France MĂ©dia Monde (France 24, RFI, Monte Carlo Doualiya) le Groupe M6 (M6, W9, 6ter RTL, RTL2), Eurosport, Next Radio TV (BFMTV, RMC) KTO.

CÎté presse il y a :

Le classement de l’Insee fait apparaĂźtre une grande diversitĂ© entre les communes quant au revenu fiscal mĂ©dian par mĂ©nage.

Le revenu fiscal mĂ©dian par mĂ©nage du dĂ©partement en 2010, est de 36 453 €, ce qui place les Hauts-de-Seine en 3 position parmi les 96 dĂ©partements français derriĂšre l’Essonne (36 894 €) et les Yvelines (40 560 €)[24]. À titre de comparaison, le revenu fiscal mĂ©dian par mĂ©nage en France mĂ©tropolitaine est de 19 270 €.

En 2004, le conseil gĂ©nĂ©ral avait un budget de 1,7 milliard d’euros et employait 5 500 agents. Le PIB par habitant est trois fois plus Ă©levĂ© dans les Hauts-de-Seine que la moyenne nationale. Par ailleurs, le dĂ©partement accueille plus de 6 000 siĂšges sociaux d’entreprises.

Les Hauts-de-Seine sont la troisiĂšme rĂ©gion NUTS-3 de l’Union europĂ©enne au regard du PIB (PPA) par habitant, avec 62 374 € (source : Eurostat) par habitant en 2002, derriĂšre Paris et Inner London mais devant RĂ©gion de Bruxelles-Capitale et Luxembourg.

Selon l’Insee, en 2000, les Hauts-de-Seine sont le dĂ©partement oĂč le PIB/emplois est le plus Ă©levĂ© en France : 108 000 euros par emploi, devant Paris (86 000 euros) puis les Yvelines (70 000 €) et le RhĂŽne (60 000 €). Les Hauts-de-Seine concentrent donc les emplois Ă  hauts revenus.

Toujours selon l’Insee, en 2000, le PIB des Hauts-de-Seine dĂ©passe lĂ©gĂšrement les 90 milliards d’euros, tandis qu’en 2000, le PIB conjoint de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne, les deux autres dĂ©partements de la petite couronne de Paris, est tout juste sous les 63 milliards d’euros.

Ce PIB de 90 milliards d’euros place les Hauts-de-Seine Ă  eux seuls devant de grandes mĂ©tropoles europĂ©ennes telles que Bruxelles (57 milliards d’euros) ou Barcelone (20 milliards d’euros).

Les Hauts-de-Seine possĂšdent Ă©galement le deuxiĂšme port fluvial d’Europe (aprĂšs Duisbourg en Allemagne) : le Port de Gennevilliers, dans le nord du dĂ©partement, avec un trafic de 3,3 millions de tonnes. Ce port est gĂ©rĂ© par Ports de Paris (anciennement Port autonome de Paris).

Au sens de la Chambre de commerce et d’industrie de rĂ©gion Paris – Île-de-France (CCIP), les villes de Colombes, Courbevoie, La Garenne, Levallois, Nanterre, Neuilly, Puteaux, Rueil et Suresnes font partie du pĂŽle Paris-La DĂ©fense, vĂ©ritable cƓur Ă©conomique du Grand Paris, incluant Ă©galement les arrondissements 1, 2, 8, 9, 16 et 17 de Paris.

Dans la moitiĂ© nord des Hauts-de-Seine se situe l’OpĂ©ration d’intĂ©rĂȘt national couverte par l’Établissement public d’amĂ©nagement de la DĂ©fense Seine Arche, sur les communes de Courbevoie, La Garenne-Colombes, Nanterre et Puteaux, oĂč sont implantĂ©s les siĂšges sociaux de grandes entreprises françaises et Ă©trangĂšres.

La DĂ©fense n’est pas le seul quartier d’affaires du dĂ©partement. Le quartier du Val de Seine Ă©talĂ© sur Boulogne-Billancourt, Issy-les-Moulineaux et Paris 15 connaĂźt un fort dĂ©veloppement et accueille au dĂ©but des annĂ©es 2010 de nombreux projets de bureaux.

Le sud-est du département accueille les siÚges de trois chaßnes de télévision françaises : TF1 (à Boulogne-Billancourt), Canal+ (à Issy-les-Moulineaux) et France 5 (à Issy-les-Moulineaux), et le reste du département accueille également les siÚges des chaßnes M6, W9 (commune de Neuilly-sur-Seine) et le bureau parisien de la chaßne TMC.

Au classement du Fortune Global 500, en 2008, 10 entreprises sont basĂ©es dans les Hauts-de-Seine : Total (8e position mondiale) Ă  Courbevoie, Carrefour (33) Ă  Boulogne-Billancourt, Saint-Gobain (110) Ă  Courbevoie, Renault (119) Ă  Boulogne, Vinci (169) Ă  Rueil, Alstom (338) Ă  Levallois, Schneider Electric (342) Ă  Rueil, L’OrĂ©al (355) Ă  Clichy, Sodexo (473) Ă  Issy-les-Moulineaux, Eiffage (488) Ă  AsniĂšres et enfin Thales (498) Ă  Neuilly, ce qui donne aux Hauts-de-Seine une importance dĂ©cisionnelle majeure.

À l’exception de L’OrĂ©al Ă  Clichy et d’Eiffage Ă  AsniĂšres, l’intĂ©gralitĂ© de ces groupes sont basĂ©s soit dans le pĂŽle Ă©conomique Paris-La DĂ©fense, soit au Val de Seine.

Le département est pourvu de centres commerciaux à rayonnement régional :

D’autres centres se trouvent en limite du dĂ©partement :

Communs à plusieurs communes :

Dans les communes :

Le dĂ©partement regroupe une sĂ©rie d’Ă©difices de styles architecturaux bien diffĂ©rents :

Parmi les autres sites remarquables, on trouve :

Soit un total d’environ 12 400 pieds.

Dans la culture locale, certaines communes du département sont appelées autrement que par leur nom officiel, pour des raisons historiques ou par simplicité.

Ces noms non officiels apparaissent aléatoirement à la place des noms officiels sur les cartes, les panneaux ou la communication des municipalités.

L’opĂ©ration des Avant Seine permet depuis 2005 de mettre un coup de projecteur sur la scĂšne rock francilienne en permettant Ă  six groupes franciliens sĂ©lectionnĂ©s de se produire sur une des scĂšnes du festival Rock en Seine. Chacun de ces groupes a l’occasion de voir un de ses titres Ă©ditĂ© sur une compilation diffusĂ©e gratuitement Ă  80 000 exemplaires.

C’est Ă  la suite d’une dispute en coulisses aux rĂ©percussions trĂšs mĂ©diatisĂ©es, juste avant leur passage sur scĂšne lors du festival Rock en Seine de 2009, que le groupe de rock anglais Oasis s’est sĂ©parĂ©. Fin 2009, le groupe s’est partiellement reformĂ© sous le nom Beady Eye.

Le dĂ©partement des Hauts-de-Seine a Ă©tĂ© l’objet d’un rĂ©cit autobiographique de Peter Handke, qui l’a surnommĂ© « la baie de personne » dans son livre Mon annĂ©e dans la baie de personne en 1994. L’Ă©crivain habitait Chaville, et dĂ©crit le dĂ©partement dans une prose poĂ©tique.

De grands noms du mouvement impressionniste ont peint des fragments du dĂ©partement qui n’Ă©tait pas encore entiĂšrement urbanisé :

Du fait de sa proximitĂ© avec Paris et de son caractĂšre trĂšs urbain, le dĂ©partement des Hauts-de-Seine apparaĂźt dans de trĂšs nombreux films. RĂ©cemment, des scĂšnes du film Mesrine, L’Ennemi public n° 1, de Jean-François Richet, furent tournĂ©es Ă  Clichy en 2007, oĂč Jacques Mesrine a passĂ© une partie importante de sa vie,. Neuilly sa mĂšre !, tournĂ© en 2008 Ă  Neuilly-sur-Seine, de Gabriel Julien-LaferriĂšre, reflĂšte les stĂ©rĂ©otypes du dĂ©partement et plus particuliĂšrement de la ville de Neuilly.

Le film Tout ce qui brille, sortie en 2010 a majoritairement était tourné à Puteaux et à La Défense

Les arriĂšre-plans des chaĂźnes de la TNT locales, comme NRJ Paris, reprennent trĂšs souvent des vues sur La DĂ©fense. Plusieurs chaĂźnes de tĂ©lĂ©vision ayant leur siĂšge et leurs studios d’enregistrement du journal dans les Hauts-de-Seine, telles que TF1 ou M6, les plans sur le dĂ©partement sont trĂšs frĂ©quents, ainsi que des Ă©missions et des reportages tournĂ©s dans le dĂ©partement.

Les Petits Chanteurs de Sainte-Croix de Neuilly (The Paris Boys Choir) est l’un des chƓurs de garçons français parmi les plus rĂ©putĂ©s au monde. Actif depuis 1956 au sein de l’Institution Notre-Dame de Sainte-Croix Ă  Neuilly-sur-Seine, il est dirigĂ© par François PolgĂĄr depuis 1983.

Les Petits Chanteurs d’AsniĂšres est une chorale de garçons qui a connu un large succĂšs dans les annĂ©es 1970, Eddie Barclay l’ayant choisie pour former Les Poppys, groupe qui a vendu prĂšs de quatre millions d’albums dans le monde. Renouvelant ses membres au cours du temps, la chorale continue de se produire, fait des concerts partout en France et accompagne des stars de la chansons telles que CĂ©line Dion, Johnny Hallyday, Alain Souchon, HĂ©lĂšne SĂ©gara, Pascal Obispo ou encore Enrico Macias.

Auteuil, Neuilly, Passy, « Rap B.C.B.G. » des Inconnus datant de 1991, donne une image trÚs stéréotypée de la ville Neuilly au sein des Hauts-de-Seine. Le groupe de rap français Lunatic donnait une tout autre image du département dans des morceaux tels que 92 I bien que parlant encore de « comptes blindés à la BNP ».

Les personnalités, nées, mortes ou ayant vécu dans le département sont trÚs nombreuses. On se référera aux sections correspondantes dans chacun des 36 articles des communes altoséquanaises.

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