Comment trouver un bon couvreur pour l’entretien de son toit ?
Les travaux d’entretien d’une toiture exigent que vous fassiez recours à un couvreur professionnel. Mais comment s’assurer de choisir un professionnel qualifié et sérieux ? Le
Vous vous êtes rendu compte que votre couverture a besoin d’une réparation à Hauts-de-Seine ? Vous ignorez comment résoudre ce problème ? Vous prévoyez des travaux de couverture ? Pas de panique, notre entreprise est le couvreur à Hauts-de-Seine qui vous convient !
Avant de commencer une réparation de toiture, notre spécialiste couvreur doit débuter par détecter l’origine des dégâts, celle-ci peut être vraiment variée. L’expert en couverture va donc mener un contrôle visuel de votre toit par l’intérieur afin de déterminer les espaces où il n’y a pas des tuiles ou ardoises. Ensuite, il grimpera sur votre toit pour faire un examen approfondi de ce recouvrement. A partir de ce diagnostic, il vous précisera quels sont les travaux d’entretien de toit à Hauts-de-Seine qu’il peut effectuer pour assurer son système d’étanchéité. Puis, il vous fournira un devis d’entretien de revêtement de toiture à Hauts-de-Seine. Alors après votre consentement, nous pourrons démarrer les interventions.
La réparation de toiture se fait d’une manière intégrale lorsqu’elle est entièrement à renouveler. Cela peut être le cas si elle est véritablement vieille ou suite à des catastrophes naturelles. Dans cette circonstance, vous devrez faire intervenir votre société d’assurance. Notre société de couverture à Hauts-de-Seine
installe un bâchage d’urgence qui sert à protéger votre toit de façon temporaire jusqu’à ce qu’on puisse remettre votre toiture de manière intégrale.
Dans le cadre d’une remise en état de toiture à Hauts-de-Seine
partielle, la remise en état la plus fréquente est le remplacement de tuiles que ce soit puisqu’elles se sont envolées ou parce que d’autres ont été brisées. Le remplacement de tuiles suit une règle déterminée parfaitement maitrisée par notre couvreur qui prendra toutes les précautions adéquates pour ôter la toiture à changer et poser la nouvelle tuile en la fixant parfaitement à toute la couverture de sorte que le tout soit solide et étanche.
Vous retrouverez à la pointe de votre toiture une ligne de tuiles dénommée faîtage. La remise à neuf de toiture peut toucher celui-ci lorsqu’il est abîmé ou qu’il se soulève dès qu’il y a vent. Notre spécialiste couvreur sur Hauts-de-Seine a des suggestions à vous proposer afin que cela ne se manifeste plus.
Par ailleurs, outre le remplacement de tuiles, la réparation de toiture à
pourra également toucher les éléments mis en place sur la toiture. C’est dans ce cadre que notre agence de revêtement de toiture peut effectuer la remise à neuf d’une pièce de cheminée, colmater une fuite sur celle-ci ou bien remettre le système d’étanchéité quand celle-ci est endommagée par une imparfaite jonction entre les ouvertures de toit ou entre des plaques photovoltaïques et le revêtement de toiture. Il assurera tous les services de zinguerie indispensables.
Lorsque votre toiture se détériore, consultez notre entreprise de revêtement de toiture de manière que les services soient terminés rapidement. Cela vous permettra d’éviter d’avoir une facture de remise en état de toiture dans la ville de Hauts-de-Seine avec un montant véritablement supérieur !
Les Hauts-de-Seine (/o d(ə) sɛn/) sont un département français constituant essentiellement depuis 1968 la proche banlieue ouest de la métropole du Grand Paris, en région Île-de-France. L’Insee et la Poste lui attribuent le code 92. Ses habitants, au nombre de 1 626 213 lors du recensement de 2020, sont appelés les Altoséquanais[2]. Les Hauts-de-Seine, d’une superficie de 176 km, sont le deuxième département français au regard de la densité de population, avec environ 9 239,8 habitants par kilomètre carré. La préfecture est Nanterre.
Le département des Hauts-de-Seine fait partie de la région Île-de-France. Il est limitrophe des départements de la Seine-Saint-Denis au nord-est, du Val-d’Oise au nord, des Yvelines à l’ouest, de l’Essonne au sud, du Val-de-Marne au sud-est et de Paris à l’est.
Avec les départements de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne, les Hauts-de-Seine forment une ceinture autour de Paris, appelée la petite couronne.
Du fait de sa forme « englobante » et de sa position « centrale », c’est le département de la région parisienne qui touche le plus de départements franciliens, six exactement (tous sauf la Seine-et-Marne).
Les Hauts-de-Seine sont le plus petit département de la couronne parisienne (et donc le plus petit département français, si on excepte Paris).
Avec une forme allongée et une taille réduite, les Hauts-de-Seine contiennent uniquement neuf villes qui ne soient pas en bordure du département.
En dehors des parcs et bois, les Hauts-de-Seine sont entièrement urbanisés, ce qui en fait un département-ville.
La Seine borde 17 des 36 communes des Hauts-de-Seine.
Trente-six ponts, dont vingt-quatre ponts routiers et quatre ponts ferroviaires, y enjambent la Seine. Parmi ces ponts, l’on trouve notamment le pont de Neuilly qui est le plus important pont urbain d’Europe pour le trafic routier, le pont ferroviaire d’Asnières qui, avec ses dix voies, est le pont ferroviaire le plus large d’Europe, et le pont de Saint-Cloud qui est le plus ancien des ponts des Hauts-de-Seine, la première version remonte en effet au IXe siècle.
Le département des Hauts-de-Seine a la forme d’un croissant qui entoure tout l’ouest de Paris, allant de la plaine Saint-Denis au nord à l’autoroute A6 au sud.
Sa principale caractéristique est d’être traversée par la Seine qui y décrit deux courbes très accentuées, provoquées par la présence de deux massifs de collines :
Au nord, le département se compose de plaines alluviales, alors que le sud est formé d’un plateau calcaire d’où, pendant des siècles, ont été extraites des pierres pour la construction. Les carrières de Châtillon, Bagneux, Clamart ont donné naissance à la plupart des monuments de Paris, et il reste aujourd’hui encore de nombreux souterrains. Le plateau calcaire est entaillé, à l’est, par la vallée de la Bièvre qui délimite par endroits le département.
Le département des Hauts-de-Seine est limitrophe des départements de la Seine-Saint-Denis au nord-est, du Val-d’Oise au nord, des Yvelines à l’ouest, de l’Essonne au sud, du Val-de-Marne au sud-est et de Paris à l’est.
Le climat des Hauts-de-Seine est très proche de celui du reste du Bassin Parisien avec un hiver doux, des pluies relativement fréquentes en automne, un printemps doux et des températures pas très élevées en été (24 °C). Il y règne un micro-climat de quelques degrés plus élevé que le reste de la partie nord de la France à cause de l’effet d’îlot de chaleur urbain observé sur l’ensemble de l’agglomération parisienne.
Les communes à plus de 15 000 hab./km représentent moins de 17 % du territoire altoséquanais, mais plus de 35 % de la population altoséquanaise. De cette densité, couplée à une activité économique élevée, résulte un encombrement des transports en commun et du réseau routier fréquent, d’où un nécessaire développement du réseau RATP/SNCF, actuellement bien moins dense que dans Paris intra-muros pour une activité et une densité parfois grandement supérieures.
Avec 44 gares de transilien, 23 stations de métro, 13 stations de tramway et 19 stations de RER, les Hauts-de-Seine comptent 97 stations de transport lourd.
Cela fait 0,55 station par kilomètre carré, ou une station pour 15 975 habitants (population 2008).
Les extensions en cours et nouvelles lignes devraient porter le nombre de stations à 134 d’ici 2012 (source RATP), soit en moyenne 0,76 station par kilomètre carré.
Les Hauts-de-Seine (territoire actuel) sont un des lieux de naissance du transport en commun, avec la première ligne de transport en commun en train qui les traversait dès 1837, sous le règne du Roi Louis-Philippe I (monarchie de juillet) : la ligne Paris – Saint-Germain-en-Laye, inaugurée par la reine Marie-Amélie le , s’arrêtant dans les gares des villes actuelles de Clichy et Levallois-Perret, Asnières-sur-Seine, La Garenne-Colombes, Nanterre et Rueil-Malmaison.
À la suite de l’annulation d’une décision du Tribunal des référés par le Conseil d’État le 11 juillet 2008, le système de vélos en libre-service Vélib’ a pu être étendu aux douze communes des Hauts-de-Seine qui bordent Paris intramuros et le Bois de Boulogne.
L’héliport de Paris – Issy-les-Moulineaux (OACI : LFPI) est un héliport situé à Paris, au-delà de la porte de Sèvres et du boulevard périphérique sud, dans une zone constituant une extension du 15 arrondissement limitrophe de la commune d’Issy-les-Moulineaux dans les Hauts-de-Seine. Ce lieu est célèbre pour avoir contribué à l’histoire de l’aéronautique au début du XXe siècle. Il est exploité par Aéroports de Paris.
Le trafic fluvial sur la Seine est important aux abords du port de Gennevilliers, premier port d’Île-de-France, premier port fluvial français (devant ceux de Strasbourg sur le Rhin et Lyon sur le Rhône), et second port fluvial européen (après Duisbourg en Allemagne).
Le port de Gennevilliers est géré par Ports de Paris et est desservi par un embranchement ferroviaire et un oléoduc. Ports de Paris gère également le port de Nanterre situé dans la ZAC des Guilleraies.
Pour le réseau routier national, le département est bordé à l’Est par le boulevard périphérique de Paris et au nord, à l’ouest et au sud par l’A86 (super-périphérique parisien). Il est irrigué par la N118 au départ de Sèvres qui descend vers l’Essonne avec un échangeur avec l’A86 au niveau du Petit Clamart, l’A13 depuis Paris près de Boulogne-Billancourt, reliée au périphérique de Paris au niveau de la porte de Saint-Cloud, l’A14 à partir de La Défense (au niveau de Courbevoie et Puteaux) qui se dirige vers le nord-ouest en passant par Nanterre en tunnel, la RN13 qui traverse Neuilly-sur-Seine entre Paris (porte Maillot) et Courbevoie/Puteaux et se termine en boulevard circulaire de La Défense et la N315 à Gennevilliers.
L’Axe historique est également un axe routier de premier plan, joignant le Musée du Louvre, la place de la Concorde, les Champs-Élysées, la place de l’Étoile et la porte Maillot dans le département de Paris, et Neuilly-sur-Seine puis la Défense dans les Hauts-de-Seine. Dans Paris, en amont, cet axe routier commence par joindre la place de la Nation à la place de la Bastille, au Marais et à l’hôtel de ville de Paris. Cet axe de premier plan est l’objet d’études importantes pour un enfouissement partiel de la RN13 (avenue Charles de Gaulle) à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine).
Une grande partie du réseau routier national a été déclassé en réseau routier départemental entre 1980 et 2006. Les routes départementales principales sont : la RD7 (voie rive gauche de Seine), la RD1 (voie rive droite de Seine) coupée en deux parties par la traversée du Bois de Boulogne, la RD986 entre Villeneuve-la-Garenne et Nanterre, la RD913 entre Puteaux et Rueil-Malmaison, la RD906 entre Montrouge et Clamart, la RD907 entre Boulogne-Billancourt et Vaucresson, la RD985 entre Suresnes et Ville d’Avray, la RD131 entre Nanterre et La Garenne-Colombes.
Le département des Hauts-de-Seine est le premier département de France en kilomètres de tunnels routiers de plus de 300 m (22,5 km).
Le RER A et la ligne L de Saint-Lazare se partagent les voies de la plus ancienne ligne d’Île-de-France entre Saint-Lazare et Le Pecq (premier terminus) puis Saint-Germain-en-Laye. En effet, le nord du département a connu les débuts du développement du transport ferroviaire dès la première moitié du XIX siècle (1837), et contient des voies ferrées nombreuses. Le pont ferroviaire d’Asnières comporte dix voies. Les gares de cette ligne, même si elles ont changé d’apparence ou de nom, sont toujours présentes : Asnières-sur-Seine, La Garenne-Colombes, Nanterre-Ville et Rueil-Malmaison.
Le département est traversé par les lignes de RER A, RER B et RER C, transilien J, L, N, U, parcouru par les lignes de métro 1, 3, 4, 9, 10, 12, 13, et les lignes de tramway 1, 2 et 6.
Les projets de la région devraient faire également arriver la ligne E du RER.
Dans le futur, le département sera desservi par :
Le département est traversé par une piste cyclable continue de 14 kilomètres, la Coulée verte du sud parisien. Cette coulée verte s’étend de la gare Montparnasse à Paris, à Massy en Essonne, tout en traversant sept communes des Hauts-de-Seine, Malakoff, Châtillon, Bagneux, Fontenay-aux-Roses, Sceaux, Châtenay-Malabry et Antony.
Cet axe privilégié pour la pratique du cyclisme peut être parcouru en Vélib’ disponible dans douze communes du département, uniquement celles qui bordent le territoire de la Mairie de Paris : Clichy, Levallois-Perret, Neuilly-sur-Seine, Puteaux, Suresnes, Saint-Cloud, Sèvres, Boulogne-Billancourt, Issy-les-Moulineaux, Vanves, Malakoff (où passe la Coulée verte du sud parisien) et Montrouge. Un tiers des communes du département sont donc équipées en Vélib’, mais les liaisons intra-départementales en Vélib’ ne sont pas facilitées pour autant, ces communes formant une longue bande qui suit le boulevard périphérique du nord au sud de Paris à l’ouest. Le système de location de vélos de la Mairie de Paris est plutôt conçu pour des trajets trans-périphériques.
L’esplanade et le parvis de La Défense ne sont plus interdits aux vélos depuis 2015. les joints des dalles du parvis représentaient un danger pour les roues des vélos qui peuvent s’y encastrer. Aucune station Vélib’ ne se situe dans le quartier d’affaires. La station la plus proche se situe à Puteaux, rue Alexandre Soljenitsyne, et comporte soixante points d’attache.
Le département des Hauts-de-Seine est en majorité issu du département de la Seine (75), originellement « Paris ». Une portion importante du département correspond à ce qui était les hauts du département de la Seine, dominant l’ancien département. Le nom du département numéro 92 répond à une logique élémentaire : les hauts de Seine ont donné le département des Hauts-de-Seine.
La découverte d’un large espace d’urbanisation proto-urbain (15 hectares) sur le territoire de l’actuelle Nanterre laisse supposer que Lutèce se trouvait sur la boucle nord des Hauts-de-Seine et non sur l’Île de la Cité.
En effet, en 2003, a été découvert une importante nécropole gauloise datant de la fin du VI siècle – début du IIIe siècle avant notre ère.
On trouve dans la ville de Malakoff, un polissoir datant du néolithique, situé boulevard Camélinat, devant le mur de clôture de l’ancien pensionnat Notre-Dame. C’est le plus ancien vestige de la ville.
Le territoire des Hauts-de-Seine est issu des départements de la Seine et de Seine-et-Oise qui furent deux des 83 départements créés à la Révolution française, le 4 mars 1790 en application de la loi du 22 décembre 1789, à partir d’une partie de la province d’Île-de-France.
Le département des Hauts-de-Seine a été créé le , en application de la loi du , conformément au décret d’application du [5], à partir de la partie ouest de l’ancien département de la Seine (27 communes) et d’une petite portion de celui de Seine-et-Oise (9 communes : Chaville, Garches, Marnes-la-Coquette, Meudon, Rueil-Malmaison, Saint-Cloud, Sèvres, Vaucresson et Ville-d’Avray).
La Préfecture des Hauts-de-Seine se situe à Nanterre dans une tour de 113 mètres de hauteur de l’architecte André Wogenscky, disciple de Le Corbusier.
Les premiers villages toujours existants du département sont contemporains des débuts de Paris. Selon des découvertes récentes à Nanterre, Lutèce se serait trouvée dans le Nord du département des Hauts-de-Seine et non sur l’île de la Cité à Paris.
L’urbanisation du département a fait un bond en avant dans la première moitié du XIX siècle avec le développement du réseau ferré de transport en commun dès 1837.
Certains lieux jusque-là faiblement bâtis ont profité de l’arrivée d’une gare les reliant rapidement à Paris pour se développer. L’avènement du réseau ferré a joué un rôle prépondérant dans l’urbanisation locale et parfois dans l’histoire des communes. Les voies ont localement matérialisé des frontières entre quartiers d’une même ville, qui ont fini par se détacher. En 1910, 73 ans après la séparation physique du quartier de La Garenne de Colombes, La Garenne-Colombes a obtenu son indépendance, démontrant la dynamique qu’avait apporté le réseau ferré au territoire desservi.
Le développement du département a dans un premier temps suivi celui de Paris, qui avec l’arrivée de nombreux provinciaux (exode rural) ou étrangers (européens ou ex-colonies) n’avait pas la place suffisante pour les accueillir.
À la fin du XX siècle et au début du XXIe, le développement des Hauts-de-Seine ne dépend plus de celui de Paris, mais de l’agglomération parisienne dans son ensemble. Paris ne représente plus que 20 % de la population de l’agglomération et n’en concentre plus la majorité des emplois. Les Hauts-de-Seine font largement partie du cœur d’agglomération qui, lui, en comprend la majorité de la population et des emplois.
Les Hauts-de-Seine conservent un potentiel de développement démographique important avec une densité de population en 2006 de 8700 habitants au kilomètre carré, contre 20 800 pour Paris, mais son potentiel de développement économique est moins évident. Deux courants d’idée s’opposent, entre une volonté de rééquilibrage des emplois en Île-de-France qui voudrait que l’emploi se développe davantage dans l’est de l’agglomération, et une volonté de renforcer le rôle de La Défense comme centre d’affaires de premier plan et potentielle place financière.
En 2020, le département comptait 1 626 213 habitants, en augmentation de 1,78 % par rapport à 2014 (France hors Mayotte : +1,9 %).
Selon les chiffres de l’INSEE, l’évolution de la population entre le recensement de 1999 et celui de 2007 n’est pas uniforme sur le département, mais connaît une tendance haussière sur la totalité des communes, à l’exception de Ville-d’Avray (- 0,5 % par an) et de Gennevilliers (- 0,1 %), alors que la population de Garches et de Sceaux est à peu près stable. À l’autre bout de la fourchette, six communes connaissent des taux de croissance proches de 2 % ou supérieurs : Montrouge (+ 2,7 %), Courbevoie (+ 2,5 %), Issy-les-Moulineaux (+ 2,1 %), Clichy (+ 2,0 %), Levallois-Perret (+ 1,8 %) et Bois-Colombes (+ 1,8 %). Ces dernières communes ont la particularité d’être à proximité immédiate soit de Paris intramuros, soit de La Défense.
Sans compter les 1 500 hectares de bois (Forêt de Fausses-Reposes, Forêt de Meudon, Parc de Sceaux, etc.) que contient le département, la densité est de 9 239,8 hab./km en 2020. Pour comparaison, la densité à Londres est de 5 667 hab./km2 en 2018, à Tokyo de 6 313 hab./km en 2018 et à New York de 7 101 hab./km2 en 2017.
Le département comprend une commune de plus de 100 000 habitants : Boulogne-Billancourt. La population des villes dépend grandement des limites géographiques des villes, donc de leur histoire, puisque le département est dans sa grande majorité bâti. La séparation de Colombes il y a un siècle en trois villes (Colombes, Bois-Colombes et La Garenne-Colombes) illustre bien cette idée ; en effet, sans cette séparation, Colombes aurait pesé en 2007 (Insee) 137 153 habitants. De même pour Clichy et Neuilly-sur-Seine qui ont cédé toutes les deux des terres à Paris et Levallois-Perret. La population des villes a donc un sens assez limité. Les densités sont plus pertinentes.
Cette densité de 9 239,8 hab./km, très élevée par rapport à la densité moyenne de l’Île-de-France (1 021,6 hab./km2), n’est pas uniforme sur le territoire altoséquanais. On distingue grossièrement quatre types de communes :
Un parallèle serait à faire entre cette répartition et le fait que Sèvres, Chaville, Ville-d’Avray, Saint-Cloud, Meudon, Marnes-la-Coquette, Vaucresson, Garches et Rueil-Malmaison faisaient partie du département de Seine-et-Oise (78), tandis que le reste des communes faisait partie du département de la Seine (anciennement Paris) (75) avant 1968.
La présidence du conseil départemental des Hauts-de-Seine est assurée par Georges Siffredi (LR) depuis le , à la suite de la mort de Patrick Devedjian,. Ce dernier avait succédé à Nicolas Sarkozy (UMP), qui avait dû démissionner de la présidence du conseil général après son élection comme président de la République française le .
Les Hauts-de-Seine sont liés intimement à de nombreuses figures politiques françaises majeures.
Les communes du département font partie depuis le 1 janvier 2016 de la métropole du Grand Paris. Elles sont réparties en quatre établissements publics territoriaux.
Il comptait auparavant cinq communautés d’agglomération entièrement dans son territoire :
Par ailleurs, les cinq communes d’Antony, Bourg-la-Reine, Châtenay-Malabry, Le Plessis-Robinson et Sceaux, dans le sud du département, faisaient partie de la communauté d’agglomération des Hauts-de-Bièvre (en beige), une communauté d’agglomération interdépartementale avec deux autres communes de l’Essonne (Verrières-le-Buisson et Wissous). Le département comptait aussi une communauté de communes, la communauté de communes de Châtillon-Montrouge (en rouge), qui regroupe Châtillon et Montrouge.
Ainsi, vingt-sept communes des Hauts-de-Seine (sur 36) faisaient partie d’une intercommunalité.
La préfecture des Hauts-de-Seine se situe à Nanterre. Le département se subdivise en deux sous-préfectures, l’une à Antony l’autre à Boulogne-Billancourt. En octobre 2011, la presse a relayé des témoignages négatifs sur les services de la sous-préfecture d’Antony,.
Le département est composé de 3 arrondissements (Nanterre, Antony et Boulogne-Billancourt), 23 cantons et 13 circonscriptions législatives.
La plus petite commune du département a approximativement la taille du plus petit arrondissement parisien, et la plus grande commune du département a approximativement la taille du plus grand arrondissement parisien. Mais les communes ne sont absolument pas organisées comme les arrondissements parisiens, puisqu’elles sont par leur essence des communes différentes, tandis que les arrondissements parisiens font partie de la même commune, avec une unique mairie et des mairies d’arrondissement. Pour accroître la coopération entre ces communes, elles se sont constituées en communautés de communes ou d’agglomération.
Sur le nord du département se trouve le quartier de La Défense qui s’étale sur plusieurs communes de tendances politiques différentes : Courbevoie, Nanterre et Puteaux.
Voir également les articles relatifs aux communes, anciennes communes et intercommunalités ainsi qu’aux conseillers généraux, députés, maires, préfets et sénateurs.
Le département est de manière générale ancré à droite et au centre-droit. Les variations peuvent cependant être très élevées d’une commune à l’autre.
Lors de l’élection présidentielle française de 2012, Nicolas Sarkozy (UMP) est arrivé en tête au premier tour à l’échelle du département avec 35 % des voix, François Hollande (PS) ayant réalisé 30,2 %, François Bayrou (MoDem) 10,7 %, Jean-Luc Mélenchon (FG) 10,4 % et Marine Le Pen (FN) 8,5 %. Les Hauts-de-Seine se distinguent ainsi nettement de la moyenne nationale avec un fort vote pour la droite républicaine couplé à un très faible vote Front national. Au second tour, Nicolas Sarkozy a, contrairement à l’échelle nationale, devancé François Hollande de justesse avec 50,5 % des voix. Cependant, on observe un écart très fort entre certaines communes, allant de 77 % des voix pour Hollande à Gennevilliers à 84 % des voix pour Sarkozy à Neuilly-sur-Seine.
Lors des élections législatives de 2012, sur les 13 circonscriptions législatives que comptent les Hauts-de-Seine, 5 sont détenues par l’UMP, 4 par le PS, 2 par l’UDI et 1 est détenue par le Front de gauche. Depuis les élections sénatoriales de 2011, sur les 7 sénateurs que compte le département, 3 adhèrent à l’UMP; le PS, l’UDI, EELV et le PCF en ont un chacun.
Lors des élections municipales de 2014, furent élus, dans les 36 communes du département, 22 maires UMP, 7 maires UDI, 4 maires FG, 2 maires divers droite et un seul maire PS, ce dernier ayant vu son élection invalidée l’année suivante.
Les élections départementales de 2015 ont vu l’élection de 28 conseillers de droite et 8 conseillers de gauche (dont la moitié Front de gauche). Patrick Devedjian (UMP) fut ainsi réélu président du Conseil départemental des Hauts-de-Seine.
Globalement, le département se divise entre une majorité de communes aisées qui votent traditionnellement pour la droite classique ou le centre-droit (UMP-UDI), et une minorité de communes défavorisées dirigées par la gauche radicale (Front de Gauche). Seule constante, le Front national réalise des scores très bas dans la totalité du département (environ deux fois moins que la moyenne nationale).
Les Hauts-de-Seine font partie de l’académie de Versailles. Le département gère les 54 000 collégiens inscrits dans les 98 collèges publics.
Plusieurs établissements d’enseignement supérieur se trouvent dans le département, tels que l’Université Paris Ouest Nanterre La Défense (Nanterre, Ville-d’Avray, Saint-Cloud), principal établissement du département avec 33 000 étudiants, mais aussi le Pôle d’enseignement supérieur Léonard-de-Vinci qui regroupe l’ESILV, l’EMLV, l’IIM, un campus de SKEMA Business School et un site de l’Université Paris-Dauphine (La Défense), un campus de CentraleSupélec (Châtenay-Malabry), un campus de l’ESSEC (La Défense), trois campus de l’Université Paris Descartes (Boulogne-Billancourt, Malakoff, Montrouge), trois campus de l’Université Paris-Sud (Châtenay-Malabry, Sceaux, Fontenay-aux-Roses), l’EDC (La Défense), un campus de l’IÉSEG (La Défense), un campus de l’ESSCA (Boulogne-Billancourt) ou encore un campus de l’EPF (Sceaux) et un campus de l’ESEO (Saint-Cloud).
Au total, près de 150 000 personnes étudient dans le département.
Six hôpitaux de Paris (AP-HP) se trouvent dans le département, Ambroise-Paré à Boulogne-Billancourt, Antoine-Béclère à Clamart, Beaujon à Clichy, Louis-Mourier à Colombes, Raymond-Poincaré à Garches et Corentin-Celton à Issy-les-Moulineaux.
Le département comprend aussi des hôpitaux publics hors AP-HP, parmi lesquels le Centre hospitalier de Courbevoie-Neuilly-Puteaux et le Centre hospitalier des quatre villes (Saint-Cloud, Sèvres, Chaville, Ville-d’Avray).
Plusieurs hôpitaux privés sont également installés dans le département dont l’hôpital privé d’Antony et l’hôpital Foch à Suresnes.
Tout comme pour Paris, mais aussi pour la Seine-Saint-Denis et le Val-de-Marne, la sécurité et la police ne dépendent pas dans les Hauts-de-Seine des maires ou du préfet, mais de la préfecture de police de Paris (depuis le 14 septembre 2009) .
En 2005, le taux de criminalité pour le département est de 70,9 crimes et délits pour 1 000 habitants, pour une moyenne nationale de 83. Certaines villes avaient en 2005 un taux inférieur à 50 (49,9 à La Garenne-Colombes).
Les Hauts-de-Seine abritent des établissements aux compétences nationales :
Les Hauts-de-Seine abritent également des organisations à directives mondiales :
Le département comprend des musées, des cinémas et des théâtres souvent mis entre parenthèses du fait du nombre et du prestige des musées, des cinémas et des théâtres de Paris accessibles aux habitants altoséquanais.
Le centre de formation d’art lyrique et l’école de danse de l’Opéra de Paris se situent à Nanterre.
Quelques lieux se détachent tels que l’UGC Ciné Cité La Défense (aux Quatre Temps), le Mégarama de Villeneuve qui comprend la deuxième plus grande salle de France après le Grand Rex et le plus grand écran d’Europe, ou le théâtre des Amandiers de Nanterre.
Les Hauts-de-Seine sont partiellement traversés par l’Axe historique de Paris.
Les Hauts-de-Seine accueillent régulièrement de grands festivals musicaux principalement dans le parc de Saint-Cloud et sur le parvis de La Défense, d’où sont généralement aussi tirés des feux d’artifice.
Rock en Seine, La Défense Jazz Festival ou encore le festival Chorus comptent parmi les événements les plus médiatisés. C’est à l’occasion du festival Chorus qu’a lieu le Tremplin de la chanson des Hauts-de-Seine, qui a permis de découvrir et de lancer notamment Lynda Lemay, Bénabar ou encore Anaïs.
Antony organise son Place au Jazz chaque année.
Le 14 juillet 1990, le concert gratuit de Jean Michel Jarre donné à La Défense a attiré un nombre record de visiteurs pour un concert de 2 500 000 personnes.
Le stade Paris La Défense Arena (anciennement U Arena) ouvert en octobre 2017 dispose également d’une configuration concerts et spectacles lui permettant d’accueillir jusqu’à 40 000 spectateurs[18]. Cette arena dédiée principalement à l’équipe de rugby professionnelle du Racing Club de France, auparavant basée au stade olympique de Colombes, se trouve à Nanterre, entre l’Arche de la Défense et la préfecture de Nanterre. Sa capacité maximale en configuration concert le place devant le Bercy Arena limité à 18 000 places, dotant le Grand Paris d’une nouvelle salle de spectacle à grande capacité et complétant l’offre de Bercy (12 arrondissement) et du Zénith (19e arrondissement, 6 293 places).
Le Festival Ptit Clap créé en 2010 par la ville de Levallois-Perret, permet à tous les jeunes de 15 à 25 ans de participer à un concours de réalisation d’un court-métrage. Ce concours a pour ambition de mettre en avant les talents de demain en les aidant à se faire connaître et reconnaître par les professionnels du cinéma. De nombreuses personnalités du 7 Art comme Eric Toledano, Olivier Nakache, Nicole Calfan ou encore Philippe Lellouche ont participé aux jurys. Depuis 2012, Arnaud Tsamère est le parrain de Ptit Clap. Aujourd’hui, le Festival Ptit Clap est devenu un rendez-vous incontournable de la jeune génération de cinéastes. En 2016, ce sont 372 films qui ont été réceptionnés depuis une trentaine de pays.
En 2008, 641 460 tonnes de déchets ménagers et assimilés ont été collectées dans les Hauts-de-Seine, soit 412 kg/hab..
Courbevoie a accueilli les épreuves d’aviron, de natation et de water-polo des Jeux olympiques d’été de 1900. Le crawl y fut nagé pour la première fois aux Jeux olympiques.
L’Hippodrome de Saint-Cloud (depuis 1901) est un hippodrome de galop.
Le Haras de Jardy (depuis 1890), à Marnes-la-Coquette, est un haras de réputation internationale, devenu parc omnisports à dominante hippique. Avec ses 2500 cavaliers et ses 200 chevaux, c’est le premier centre équestre de France.
Le stade olympique Yves-du-Manoir à Colombes a notamment accueilli les Jeux olympiques d’été de 1924, la finale de la coupe du monde de football 1938 et nombre de finales de la coupe de France de football et de championnat de France de rugby à XV ainsi que des rencontres des équipes de France de football et de rugby à XV.
Un nouveau stade, l’Arena 92, doté d’un toit, ouvre en octobre 2017 ; il dispose d’une configuration concerts et spectacles lui permettant d’accueillir 30 000 spectateurs, sur la ville de Nanterre près de l’Arche de La Défense. Ce stade est la nouvelle arène du Racing 92, auparavant basé à Yves-du-Manoir.
Le club du Levallois Metropolitans, basé à Levallois et le club Jeunesse sportive des Fontenelles de Nanterre, basé à Nanterre, évoluent en Pro A. Ce dernier a connu une évolution fulgurante ces dernières années, passant de la Pro B au titre de champion de France en 2013, suivi d’une victoire en Coupe de France en 2014 puis d’un titre en Eurochallenge (troisième compétition européenne de basket-ball) en 2015.
Le district de football des Hauts-de-Seine gère, sous l’égide de la fédération française de football et de la ligue de Paris – Île-de-France, le football dans les Hauts-de-Seine, ainsi que dans la ville de Paris, seul département francilien qui ne s’est pas doté de son district propre, et dont les clubs sont éparpillés au sein de trois districts : celui de la Seine-Saint-Denis, celui du Val-de-Marne et donc celui des Hauts-de-Seine.
Le club du Racing Club de France football Colombes 92 (depuis 1896) est basé à Colombes.
Le club de football américain des Molosses d’Asnières (depuis 1992) est basé à Asnières-sur-Seine et évolue parmi l’élite française depuis 1994.
La fosse aquatique de Villeneuve-la-Garenne est l’une des sept fosses de plongée les plus profondes de France (20 mètres de profondeur) et au troisième rang européen et mondial. Elle comprend différents espaces d’évolution à des profondeurs de -2,3 mètres, -5 mètres, -10 mètres et jusqu’à -20 mètres. La future fosse de plongée d’Antony devrait voir le jour au sud du département en 2017.
Le club de rugby Racing 92 (depuis 1882) est basé à Colombes et joue dans le Championnat de France de rugby à XV.
Le club Asnières Volley 92 (depuis 1948) est basé à Asnières-sur-Seine et évolue en Ligue B. Le Plessis-Robinson Volley-ball évolue également en Ligue B depuis la saison 2010-2011.
La Cathédrale Sainte-Geneviève-et-Saint-Maurice de Nanterre est dédiée à sainte Geneviève, née à Nanterre, patronne du diocèse de Nanterre et de la ville de Paris, et à Saint Maurice d’Agaune, soldat romain converti au christianisme et ses compagnons martyrs.
Selon la tradition, une chapelle avait été construite autour du puits de la maison de Sainte Geneviève à Nanterre, dont l’eau avait guéri la mère de Geneviève de sa cécité. Cet endroit fut longtemps un lieu de pèlerinage où vinrent notamment Saint Louis et sa mère Blanche de Castille, Louis XIII et Anne d’Autriche.
Dans les Hauts-de-Seine, quatre paroisses orthodoxes relèvent du vicariat Sainte-Marie-de-Paris-et-Saint-Alexis-d’Ugine, qui regroupe les paroisses de tradition russe auprès de la métropole orthodoxe grecque de France, une juridiction du patriarcat œcuménique de Constantinople :
La paroisse Saints-Raphaêl-Nicolas-et-Irène dispose d’une chapelle aménagée dans les locaux du foyer hellénique de jeunes à Châtenay-Malabry ; elle dépend directement de la métropole orthodoxe grecque de France.
La paroisse de la Descente-du-Saint-Esprit, à Clichy, dépend de la métropole orthodoxe roumaine d’Europe occidentale et méridionale, qui est un diocèse de l’Église orthodoxe roumaine (Patriarcat de Roumanie).
La paroisse Saint-Jean-de-San-Francisco, à Asnières-sur-Seine, dépend de l’éparchie d’Europe occidentale, une circonscription de l’Église orthodoxe serbe.
L’Église protestante unie de France possède dans le département des paroisses de confession luthérienne, comme le temple de Suresnes, et des paroisses de confession réformée, comme le temple de Neuilly-sur-Seine, le temple de la Petite Étoile de Levallois-Perret, le temple de Robinson ou encore la chapelle de Ville-d’Avray.
Une partie des médias français sont basés dans le département, notamment plusieurs chaînes de télévision et de radio, on peut citer le Groupe TF1 (TF1, TMC, TFX, TF1 Série-Film, LCI), le Groupe Canal+(Canal+, Canal+ Sport, C8, Cstar, Golf+ et tous les autres chaînes du groupe), France 3 Paris-Île de France, France 5, France Ô, France Média Monde (France 24, RFI, Monte Carlo Doualiya) le Groupe M6 (M6, W9, 6ter RTL, RTL2), Eurosport, Next Radio TV (BFMTV, RMC) KTO.
Côté presse il y a :
Le classement de l’Insee fait apparaître une grande diversité entre les communes quant au revenu fiscal médian par ménage.
Le revenu fiscal médian par ménage du département en 2010, est de 36 453 €, ce qui place les Hauts-de-Seine en 3 position parmi les 96 départements français derrière l’Essonne (36 894 €) et les Yvelines (40 560 €)[24]. À titre de comparaison, le revenu fiscal médian par ménage en France métropolitaine est de 19 270 €.
En 2004, le conseil général avait un budget de 1,7 milliard d’euros et employait 5 500 agents. Le PIB par habitant est trois fois plus élevé dans les Hauts-de-Seine que la moyenne nationale. Par ailleurs, le département accueille plus de 6 000 sièges sociaux d’entreprises.
Les Hauts-de-Seine sont la troisième région NUTS-3 de l’Union européenne au regard du PIB (PPA) par habitant, avec 62 374 € (source : Eurostat) par habitant en 2002, derrière Paris et Inner London mais devant Région de Bruxelles-Capitale et Luxembourg.
Selon l’Insee, en 2000, les Hauts-de-Seine sont le département où le PIB/emplois est le plus élevé en France : 108 000 euros par emploi, devant Paris (86 000 euros) puis les Yvelines (70 000 €) et le Rhône (60 000 €). Les Hauts-de-Seine concentrent donc les emplois à hauts revenus.
Toujours selon l’Insee, en 2000, le PIB des Hauts-de-Seine dépasse légèrement les 90 milliards d’euros, tandis qu’en 2000, le PIB conjoint de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne, les deux autres départements de la petite couronne de Paris, est tout juste sous les 63 milliards d’euros.
Ce PIB de 90 milliards d’euros place les Hauts-de-Seine à eux seuls devant de grandes métropoles européennes telles que Bruxelles (57 milliards d’euros) ou Barcelone (20 milliards d’euros).
Les Hauts-de-Seine possèdent également le deuxième port fluvial d’Europe (après Duisbourg en Allemagne) : le Port de Gennevilliers, dans le nord du département, avec un trafic de 3,3 millions de tonnes. Ce port est géré par Ports de Paris (anciennement Port autonome de Paris).
Au sens de la Chambre de commerce et d’industrie de région Paris – Île-de-France (CCIP), les villes de Colombes, Courbevoie, La Garenne, Levallois, Nanterre, Neuilly, Puteaux, Rueil et Suresnes font partie du pôle Paris-La Défense, véritable cœur économique du Grand Paris, incluant également les arrondissements 1, 2, 8, 9, 16 et 17 de Paris.
Dans la moitié nord des Hauts-de-Seine se situe l’Opération d’intérêt national couverte par l’Établissement public d’aménagement de la Défense Seine Arche, sur les communes de Courbevoie, La Garenne-Colombes, Nanterre et Puteaux, où sont implantés les sièges sociaux de grandes entreprises françaises et étrangères.
La Défense n’est pas le seul quartier d’affaires du département. Le quartier du Val de Seine étalé sur Boulogne-Billancourt, Issy-les-Moulineaux et Paris 15 connaît un fort développement et accueille au début des années 2010 de nombreux projets de bureaux.
Le sud-est du département accueille les sièges de trois chaînes de télévision françaises : TF1 (à Boulogne-Billancourt), Canal+ (à Issy-les-Moulineaux) et France 5 (à Issy-les-Moulineaux), et le reste du département accueille également les sièges des chaînes M6, W9 (commune de Neuilly-sur-Seine) et le bureau parisien de la chaîne TMC.
Au classement du Fortune Global 500, en 2008, 10 entreprises sont basées dans les Hauts-de-Seine : Total (8e position mondiale) à Courbevoie, Carrefour (33) à Boulogne-Billancourt, Saint-Gobain (110) à Courbevoie, Renault (119) à Boulogne, Vinci (169) à Rueil, Alstom (338) à Levallois, Schneider Electric (342) à Rueil, L’Oréal (355) à Clichy, Sodexo (473) à Issy-les-Moulineaux, Eiffage (488) à Asnières et enfin Thales (498) à Neuilly, ce qui donne aux Hauts-de-Seine une importance décisionnelle majeure.
À l’exception de L’Oréal à Clichy et d’Eiffage à Asnières, l’intégralité de ces groupes sont basés soit dans le pôle économique Paris-La Défense, soit au Val de Seine.
Le département est pourvu de centres commerciaux à rayonnement régional :
D’autres centres se trouvent en limite du département :
Communs à plusieurs communes :
Dans les communes :
Le département regroupe une série d’édifices de styles architecturaux bien différents :
Parmi les autres sites remarquables, on trouve :
Soit un total d’environ 12 400 pieds.
Dans la culture locale, certaines communes du département sont appelées autrement que par leur nom officiel, pour des raisons historiques ou par simplicité.
Ces noms non officiels apparaissent aléatoirement à la place des noms officiels sur les cartes, les panneaux ou la communication des municipalités.
L’opération des Avant Seine permet depuis 2005 de mettre un coup de projecteur sur la scène rock francilienne en permettant à six groupes franciliens sélectionnés de se produire sur une des scènes du festival Rock en Seine. Chacun de ces groupes a l’occasion de voir un de ses titres édité sur une compilation diffusée gratuitement à 80 000 exemplaires.
C’est à la suite d’une dispute en coulisses aux répercussions très médiatisées, juste avant leur passage sur scène lors du festival Rock en Seine de 2009, que le groupe de rock anglais Oasis s’est séparé. Fin 2009, le groupe s’est partiellement reformé sous le nom Beady Eye.
Le département des Hauts-de-Seine a été l’objet d’un récit autobiographique de Peter Handke, qui l’a surnommé « la baie de personne » dans son livre Mon année dans la baie de personne en 1994. L’écrivain habitait Chaville, et décrit le département dans une prose poétique.
De grands noms du mouvement impressionniste ont peint des fragments du département qui n’était pas encore entièrement urbanisé :
Du fait de sa proximité avec Paris et de son caractère très urbain, le département des Hauts-de-Seine apparaît dans de très nombreux films. Récemment, des scènes du film Mesrine, L’Ennemi public n° 1, de Jean-François Richet, furent tournées à Clichy en 2007, où Jacques Mesrine a passé une partie importante de sa vie,. Neuilly sa mère !, tourné en 2008 à Neuilly-sur-Seine, de Gabriel Julien-Laferrière, reflète les stéréotypes du département et plus particulièrement de la ville de Neuilly.
Le film Tout ce qui brille, sortie en 2010 a majoritairement était tourné à Puteaux et à La Défense
Les arrière-plans des chaînes de la TNT locales, comme NRJ Paris, reprennent très souvent des vues sur La Défense. Plusieurs chaînes de télévision ayant leur siège et leurs studios d’enregistrement du journal dans les Hauts-de-Seine, telles que TF1 ou M6, les plans sur le département sont très fréquents, ainsi que des émissions et des reportages tournés dans le département.
Les Petits Chanteurs de Sainte-Croix de Neuilly (The Paris Boys Choir) est l’un des chœurs de garçons français parmi les plus réputés au monde. Actif depuis 1956 au sein de l’Institution Notre-Dame de Sainte-Croix à Neuilly-sur-Seine, il est dirigé par François Polgár depuis 1983.
Les Petits Chanteurs d’Asnières est une chorale de garçons qui a connu un large succès dans les années 1970, Eddie Barclay l’ayant choisie pour former Les Poppys, groupe qui a vendu près de quatre millions d’albums dans le monde. Renouvelant ses membres au cours du temps, la chorale continue de se produire, fait des concerts partout en France et accompagne des stars de la chansons telles que Céline Dion, Johnny Hallyday, Alain Souchon, Hélène Ségara, Pascal Obispo ou encore Enrico Macias.
Auteuil, Neuilly, Passy, « Rap B.C.B.G. » des Inconnus datant de 1991, donne une image très stéréotypée de la ville Neuilly au sein des Hauts-de-Seine. Le groupe de rap français Lunatic donnait une tout autre image du département dans des morceaux tels que 92 I bien que parlant encore de « comptes blindés à la BNP ».
Les personnalités, nées, mortes ou ayant vécu dans le département sont très nombreuses. On se référera aux sections correspondantes dans chacun des 36 articles des communes altoséquanaises.
Par périodes historiques successives
Par date de publication (idem infra)
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