
Comment trouver un bon couvreur pour l’entretien de son toit ?
Les travaux d’entretien d’une toiture exigent que vous fassiez recours à un couvreur professionnel. Mais comment s’assurer de choisir un professionnel qualifié et sérieux ? Le
Vous avez découvert que votre couverture nécessite une réparation à Gretz-Armainvilliers ? Vous ne savez pas comment réparer cela ? Vous envisagez des services de couverture ? Pas de panique, nous sommes le couvreur à Gretz-Armainvilliers qu’il vous faudra !
Avant de commencer une réfection de toiture, notre spécialiste couvreur doit débuter par déterminer l’origine du dommage, celle-ci pouvant être très variée. Le professionnel en couverture doit alors mener un examen visuel de votre couverture par l’intérieur dans le but de déterminer les coins où il n’existe pas des ardoises ou tuiles. Par la suite, il grimpera sur votre toit pour réaliser un constat plus précis de ce recouvrement. À l’issue de ce diagnostic, il vous précisera la liste des travaux de réfection de toit à Gretz-Armainvilliers qu’il doit faire pour rétablir son étanchéité. Ensuite, il vous donnera un devis de rénovation de toiture à Gretz-Armainvilliers. Alors si vous validez, nous pourrons débuter la mission.
La réparation de toiture est complète lorsqu’elle est intégralement à remplacer. Cela peut se faire au cas où elle est véritablement vétuste ou à la suite de catastrophes naturelles. Dans ce cas, vous serez contraint de contacter votre compagnie d’assurance. Notre société de couverture sur Gretz-Armainvilliers
met donc en place un bâchage d’urgence qui permet de protéger votre toiture de manière temporaire jusqu’à ce qu’on puisse remettre votre toit complètement.
Dans le cadre d’une remise en état de toiture dans la ville de Gretz-Armainvilliers
partielle, la réparation la plus fréquente est le changement de tuiles que ce soit parce qu’elles se sont enlevées ou puisque certaines ont été cassées. Le remplacement de tuiles fait l’objet d’une procédure déterminée bien maitrisée par notre professionnel en couverture qui tiendra compte de toutes les précautions utiles pour ôter la toiture à changer et poser la nouvelle tuile en la mettant d’une façon parfaite à l’ensemble de manière que le tout devienne dur et hermétique.
Vous voyez au sommet de votre toiture une ligne de tuiles appelée faîtage. La remise à neuf de toiture concerne ce dernier quand il est abîmé ou qu’il se soulève dès qu’il y a vent. Notre couvreur à Gretz-Armainvilliers a des solutions à vous prodiguer pour que cela ne revienne plus.
Par ailleurs, en plus du changement de tuiles, la remise en état de toit à Gretz-Armainvilliers
peut aussi concerner les éléments mis en place sur le toit. C’est dans ce cadre que notre société de couverture peut réaliser la rénovation d’une pièce de cheminée, colmater une fuite sur cette dernière ou bien rétablir l’étanchéité quand elle est dégradée par une mauvaise connexion entre les ouvertures de toit ou entre des panneaux solaires et le revêtement de toiture. Il effectuera tous les chantiers de zinguerie nécessaires.
Lorsque votre toit se dégrade, appelez notre entreprise de couverture de manière que les services soient accomplis dans le plus bref délai. Cela vous permettra d’éviter d’obtenir une facture de remise en état de toit sur Gretz-Armainvilliers avec un chiffre trop supérieur !
Gretz-Armainvilliers (prononcé [gʁɛ.t͡s‿aʁ.mɛ̃.vi.ˈlje]) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.
La commune est située sur le plateau de la Brie :
Le réseau hydrographique de la commune se compose de huit cours d’eau référencés :
La longueur totale des cours d’eau sur la commune est de 8,61 km.
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l’eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie.
La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d’une superficie de 1 017 km, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l’Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[11]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse ».
La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l’encadré ci-contre[13]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l’Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun – Villaroche , qui se trouve à 15 km à vol d’oiseau[16], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010 à 11,6 °C pour 1991-2020[18].
L’inventaire des zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Gretz-Armainvilliers comprend deux ZNIEFF de type 2,, :
Gretz-Armainvilliers est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,.
Elle appartient à l’unité urbaine de Gretz-Armainvilliers, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes et 17 375 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[26][27].
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne. Cette aire regroupe 1 929 communes[28][29].
La commune compte 40 lieux-dits administratifs répertoriés consultables ici[30] (source : le fichier Fantoir).
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des forêts et milieux semi-naturels (55,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55,8% ), zones urbanisées (17,6% ), prairies (9,8% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,2% ), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,3% ), eaux continentales (3,5% ), terres arables (2,7 %)[31].
Parallèlement, L’Institut Paris Région, agence d’urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l’occupation du sol de l’Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d’occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu’à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover,,. L’Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l’évolution de l’occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s’imposant aux documents d’urbanisme locaux, les PLU (Plan local d’urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Frange ouest du plateau de la Brie, dont le projet a été arrêté le et porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) des communes de la Frange Ouest du Plateau de Brie.
La commune disposait en 2019 d’un plan local d’urbanisme en révision. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l’urbanisme[Carte 4].
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 3 638 dont 52,5 % de maisons et 47,2 % d’appartements.
Parmi ces logements, 94,7 % étaient des résidences principales, 0,6 % des résidences secondaires et 4,7 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 55,7 % contre 42,8 % de locataires dont, 22,1 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 8] et, 1,5 % logés gratuitement.
La commune est traversée par la RN 4, direction Paris ou Nancy.
La ville dispose de la gare de Gretz-Armainvilliers, desservie par les trains de la ligne E du RER.
Plusieurs lignes d’autobus y passent :
Le nom de la localité est mentionné sous les formes « In pago Parisiaco in villa que dicitur Gressus » en 820 ; Gres en 1182[38] ; Gressium en 1209 ; Gresseium in Bria en 1280 ([40]) ; Gres en Brie en 1389 ; Gres en Brye en 1466[42] ; Grez en Brie en 1774 ; Grez au XVIIIe siècle ; Gretz ou Grès en 1829[39] ; Gretz-Armainvilliers (Décret du ).
Gretz : du latin gresum, qui désigne un terrain rocailleux à l’époque gallo-romaine.
Armainvilliers signifierait « la villa de Hermann ».
Présence de ruines d’une tour carrée datant du XIII siècle et d’un château. Depuis au moins 1210, il existait une famille féodale locale, les de Gretz/de Grez[44][45], issue de Barthélemy de Gretz, fils de Béatrice et mari d’Havise, seigneur de Nesles, père d’Hugues, Adam, Henri et Guillaume (seigneur de Gretz en 1249-1266). Appartiennent à cette famille le maréchal Jean de Gretz de Corbeil († 1318), fils d’autre Jean de Corbeil, et les prélats Guillaume († 1293) et Pierre de Grez († 1325), évêques d’Auxerre, ou Henri de Grez († 1246), évêque de Chartres. Les sire de Gretz, dès cette première famille, avaient aussi, au moins en bonne part, la forêt d’Armainvilliers (cf. Le site de l’ONF, sur Google, historique de la forêt d’Armainvilliers), mais pas la seigneurie qui était alors en la possession de seigneurs particuliers.
À la mort en 1325 de l’évêque d’Auxerre Pierre, seigneur de Gretz, fort endetté auprès du roi Charles, celui-ci saisit Gretz et le vend 1 000 livres à son cousin Philippe de Valois, qui le donne à son chambellan Jean I Viole d’Andrezel. Sous Charles VIII, Michel du Chastenez du Feuillet, maître d’Hôtel du roi, est seigneur de Gretz, qu’il vend en 1496 avec Marois, Combreux, Armainvilliers et Petit-Musse (à Gretz), à Jacques de (La) Mineray[47], maître d’Hôtel du roi, vicomte de Rouen, suivi par son fils François (fl. 1510-1526), lui-même père de Charles de (La) Mineray ; désormais Armainvilliers et Gretz ont les mêmes seigneurs (auparavant, Armainvilliers avait des seigneurs particuliers : l’abbé Lebeuf, dans son Histoire du diocèse de Paris abondamment reprise par Louis Michelin (, p. 527) en cite quelques-uns, comme Gaucher du Chastel en 1380 ; Jean de Rivière en 1397 ; Jean II de Popincourt sous Louis XI ; Pierre Turquant en 1470, auditeur au Châtelet). En 1580, Pierre de Sourhouette du/de Halde, écuyer et premier valet de chambre du Roi, capitaine-gouverneur d’Etaples, seigneur de Longvilliers[48], Marquise, Recques en Boulonnais et Dannes, Avrilly, châtelain de Beauche en Auxerrois, achète la seigneurie de Gretz-Armainvilliers ; il était l’époux de Lucrèce de Mauny, et le père de Charles et Diane du/de Halde († 1650, elle épouse successivement deux fils cadets du duc Charles d’Halluin : en 1587 Robert († 1587 à Coutras) et en 1588 Léonor († 1595 au siège de Doullens) ; puis François de Belleval-Rouvroy[50], † 1602 ; enfin Jacques de Machat de La Meschaussée-Pompadour).
En 1609, Pierre de Beringhen, Premier valet de chambre d’Henri IV puis de Louis XIII, acquiert Gretz-Armainvilliers, qui passe ensuite à son fils Henri (1603-1692 ; Premier valet de chambre, Premier écuyer du roi à la Petite-Ecurie, maréchal de camp, gouverneur de Marseille ; protestant, il doit fuir Richelieu et se réfugier aux Pays-Bas chez Maurice et Frédéric-Henri d’Orange-Nassau, aussi chez Gustave-Adolphe ; la famille de Beringhen posséda aussi le château d’Azay-le-Rideau, le domaine de la Rivière vers Thomery, Châteauneuf et Le Plessis-Bertrand en Bretagne, Louveciennes depuis 1685, la seigneurie de Tournan vers la mi-XVII siècle/1669 : désormais le seigneur de Tournan réside au château d’Armainvilliers), et à son petit-fils Jacques-Louis (1651-1723 ; Premier écuyer du roi ; en 1700, il échange Louveciennes avec Louis XIV contre l’ensemble de la châtellenie de Tournan, avec Châtres et Marles, et devient comte d’Armainvilliers le 4 juin 1704). Les trois fils de ce dernier se succèdent alors : Jacques-Louis II (1680-1723), l’évêque François-Charles (1691-1742), et Henri-Camille de Beringhen, † 1770. Ce dernier, criblé de dettes, vend les terres à Louis XV en 1761.
Le , Louis-Charles de Bourbon (1701-1775), duc d’Aumale et comte d’Eu, échangea avec Louis XV la principauté de Dombes contre le duché de Gisors et les terres de Gretz-Armainvilliers et de Pontcarré. Sa succession passa à la branche collatérale des Bourbon-Penthièvre, puis aux Orléans (Louise Marie de Bourbon-Penthièvre, Madame Égalité, mère de Louis-Philippe, en apportant l’héritage).
En 1890, Clément Ader décolla avec le premier avion du monde appelé Éole.
Le 22 juin 1944 les installations ferroviaires de Gretz-Armainvilliers ont été bombardées par la 8th US Air Force simultanément avec la ville de Tournan-en-Brie. Des recherches récentes dans les archives américaines, désormais accessibles, permettent de connaitre dans le détail le déroulement de ce bombardement.
L’escadrille de 52 bombardiers B-24 Liberator, volant en formation de quatre Combat box de 12 à 13 avions chacun, avait trois objectifs précis. Deux des Combat box ont pris pour cible la gare de triage, un autre la gare elle-même et l’embranchement vers Bâle-Mulhouse, le dernier a bombardé le centre-ville de Tournan-en-Brie. Pour parfaitement repérer et viser les cibles l’escadrille avait pour ordre d’effectuer un premier passage au-dessus de Tournan-en-Brie et de Gretz-Armainvilliers avant de revenir pour lâcher les bombes, ce qui fut fait.
C’est en application du Transportation Plan destiné à retarder l’acheminement des renforts allemands vers le front de Normandie, où la bataille était encore indécise quinze jours après le débarquement que ces trois objectifs ont été bombardés. Les 100 tonnes de bombes qui furent déversées entre 19h14 et 19h20 sur les trois objectifs ont effectivement coupé pour un temps les liaisons ferroviaires et routières vers l’est. Le triage de Gretz-Armainvilliers a été rendu inutilisable jusqu’à la fin de la guerre. Les Allemands s’efforceront, à marche forcée, de rétablir la liaison ferroviaire Paris-Mulhouse, et de faire déblayer le centre de Tournan-en-Brie pour que la circulation routière vers l’est puisse reprendre au plus vite.
Gretz-Armainvilliers se trouve dans le département de Seine-et-Marne. Rattachée depuis la Révolution française à l’arrondissement de Melun, elle intègre le l’arrondissement de Torcy afin de faire coïncider les limites d’arrondissement et celles des intercommunalités[52].
Elle fait partie depuis 1988 de la neuvième circonscription de Seine-et-Marne.
La commune faisait partie 1793 du canton de Tournan-en-Brie avant d’être rattachée au canton d’Ozoir-la-Ferrière dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.
La commune fait partie de la communauté de communes Les Portes Briardes Entre Ville et Forêts, créée fin 2009.
La commune de Gretz-Armainvilliers n’est jumelée avec aucune autre commune.
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au ,.
En 2020, la gestion du service d’assainissement collectif de la commune de Gretz-Armainvilliers est assurée par le SICTEU Gretz-Armainvillers, Liverdy-en-Brie, Presles-en-Brie et Tournan-en-Brie pour le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le ,,.
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel. La commune assure le service public d’assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à l’entreprise Suez[61][65].
En 2020, l’alimentation en eau potable est assurée par le SMAEP de la région de Tournan-en-Brie qui en a délégué la gestion à l’entreprise Suez, dont le contrat expire le ,,.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[69].
En 2020, la commune comptait 8 459 habitants, en diminution de 1,39 % par rapport à 2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Le handball, le rugby et le football sont les sports phares de cette commune.
Club formateur ayant à de nombreuses reprises obtenu le label d’or et le label d’argent de la fédération française pour son école de handball qui est d’ailleurs devenue championne de Seine-et-Marne en 2009. Le club est désormais présidé par Guillaume Febvret.
Le club de Karaté de Gretz-Tournan est affilié à la Fédération Française de Karaté. Ce club accueille des enfants à partir de quatre ans comme des adultes, des débutants ou des pratiquants confirmés. Des stages d’initiation au Karaté ont également été dispensés par des experts de ce domaine tels que Serge Serfati.
En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 3 336 (dont 62 % imposés), représentant 8 731 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 21 810 euros.
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 2 932, occupant 3 765 actifs résidants.
Le taux d’activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s’élevait à 67,6 % contre un taux de chômage de 8,3 %.
Les 24,1 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 11,2 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5,6 % de retraités ou préretraités et 7,4 % pour les autres inactifs.
En 2015, le nombre d’établissements actifs était de 671 dont 2 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 41 dans l’industrie, 108 dans la construction, 461 dans le commerce-transports-services divers et 59 étaient relatifs au secteur administratif.
Ces établissements ont pourvu 2 441 postes salariés.
La ville compte de nombreux commerces et supermarchés, mais également deux zones : une artisanale et une industrielle, ainsi qu’un golf.
Gretz-Armainvilliers est dans la petite région agricole dénommée la « Brie boisée », une partie de la Brie autour de Tournan-en-Brie. En 2010, l’orientation technico-économique[Note 10] de l’agriculture sur la commune est l’élevage de bovins pour le lait.
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d’environ 30 % du nombre d’agriculteurs dans les années 2010. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 4 en 1988 à 2 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 16 ha en 1988 à 8 ha en 2010[74].
Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Gretz-Armainvilliers, observées sur une période de 22 ans :
Les travaux d’entretien d’une toiture exigent que vous fassiez recours à un couvreur professionnel. Mais comment s’assurer de choisir un professionnel qualifié et sérieux ? Le
Divers experts interviennent dans la construction et la rénovation d’une habitation. L’un d’entre eux est le couvreur. Il s’agit d’un artisan spécialisé dans la couverture
Le prix d’une toiture dans le 77 peut représenter plusieurs milliers d’euros. Dès lors, mieux vaut bien anticiper les travaux de toiture. La couverture de
Une fuite au niveau du toit n’est jamais une bonne chose. Effectivement, cela peut diminuer le confort à l’intérieur de l’habitation. Le problème peut également
Toiture de France propose de nombreux services dans en Seine-et-Marne. Voici quelques chiffres qui montrent l’ensemble de notre travail accomplis au cours de l’année.
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